20 ans (14/02/1991) ; Japonaise ; Cocker brun ; Baguette en bois de Noyer, 26 cm, contient une plume de phénix ; Sang Mêlé ; Kaban ; RÉSERVÉE
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"L'adorable petit démon" de sixième année, ça serait surement le diminutif que les gens pourraient employées pour la jeune Mayuko. D’autres utiliseront le surnom de "pile électrique" mais ce qui est sure c’est que tous diront qu’elle est adorable, encore plus que son animal de compagnie qui la suit partout ou elle va. La jeune femme est une fille d’une extrême gentillesse et d’une générosité à tout épreuve, elle serait capable de se couper une jambe pour la donner un unijambiste…Enfin ce n’est pas totalement le cas puisqu’elle consentirait à faire cela qu’avec une seule personne : son cousin Ren. Bref la jeune Mayuko est d’une honnêteté à toute épreuve. Certes elle ne mentira pas pour faire plaisir à quiconque mais dira la vérité avec un tact digne d’un plus grand diplomate du monde. Tolérante, elle accueille bien gentiment quiconque souhaite venir à sa rencontre et ne peut supporter qu’on puisse mettre de côté des gens seulement parce qu’ils sont différents. Elle viendra toujours à la rencontre de ceux qui semblent mélancolique et triste due à son instinct maternel très développé qui fait d’elle, une véritable mère poule pour ses amis sans être devenir trop collante. Ayant le contact facile avec autrui du au fait qu’elle en a énormément manqué durant son enfance, il ne faut surtout pas s’étonner si elle saute au cou de ses amis pour leur faire un petit bisou sur la joue. Cependant croire qu’elle est une peluche qu’on peut câliner à toute heure est une grave erreur. Garçon manqué sur les bords, elle aime jouer sur son côté adorable et mignon pour se jouer des garçons qui rêveraient de profiter de son corps et sa vengeance bien que gentille pourrait surement détruire à jamais la réputation de ses bels hommes qui ont voulus se jouer d’elle. On peut donc dire qu’elle est très lunatique par moment mais cela est du essentiellement à son côté mélancolique. Lorsqu’elle est plongée dans ses noires pensées, elle devient alors aussi asociale que son cousin peut l’être mais généralement c’est à ce moment là qu’elle pointe son bout de nez pour se blottir dans ses bras, comme s’il était la seule personne capable de la comprendre. Ce qui n’est pas loin de la vérité car au cours de leur enfance, ils ont été le soutien mutuel l’un de l’autre et se considère désormais comme les deux membres d’une seule famille ; celle qu’ils ont instaurés l’un envers l’autre. D’ailleurs, Ren est surement l’une des rares personnes à faire sortir son côté bien maman poule qui s’inquiète pour son petit et bien qu’elle est souvent maladroite dans la vie de tous les jours et parfois avec son cousin préférée, elle tâche toujours de le faire sourire, rire comme avant. Cependant croire qu’elle est une bonne poire est une grave erreur, tout comme son cousin, elle est très intelligente et fait même partie des meilleures de son année qui aurait pu faire d’elle une olen mais elle est tellement téméraire et blagueuse en faisant blague sur blague qu’elle a été mise chez les grands Kabans. Une maison qui lui scie comme un gant.

Mayuko est née de l’union de son sang pur de père, qui se trouve être le frère de la mère de Ren, et de sa moldue de mère, sorcière également, qu’il a connu lors de ses années à Akiwa et dont il est tombé follement amoureux. Ainsi, elle a vécu une enfance des plus joyeuses, dans une famille des plus aimantes et tout semblait alors marché sur des roulettes, bien qu’il lui arrivait très souvent d’avoir de gros soucis d’asthme ou des difficultés à respirer mais jusqu’à ses huit ans, il n’y avait rien eu de très problématique. Tout semblait alors être parfait si ce n’est qu’un jour en tombant malade, une bronchite tout à fait bénigne en apparence ne contraignent ses parents à se rendre à un hôpital moldu car elle avait de grandes difficultés à respirer et son traitement était inefficace. C’est ainsi que ses parents découvrirent une chose que son pédiatre n’avait jamais repéré en elle : une malformation d’une partie de ses poumons qui rendait pour elle, tout exercice physique intensif bien trop nocif pour elle, qui était alors prise de crise violente d’asthme. Il fut donc évidant qu’elle due rester de longues semaines à l’hôpital pour combattre cette bronchite qui l’empêchait de respirer avant d’envisager toute opération pour réparer cette malformation avec une greffe. Cependant ses poumons ayant été fortement atteint à cause de la bronchite, les complications se sont vite ajoutées, ce qui fit qu’elle ne pu réellement quitter l’hôpital qu’à l’aube de son treizième anniversaire, peu de temps avant son entrée à Akiwa.
A ce même moment, sa famille n’était plus la même. Son père et sa mère ne cessait que se disputer vis-à-vis d’elle, se rejetant la faute sur son état de santé qui était à l’époque encore bien fragile alors qu’elle suivait une convalescence chez elle, à Osaka, seulement rythmée par les visites de son cousin qui bien que taciturne, passé de longues heures à lui jouer de la guitare, ou du piano lorsqu’elle avait assez de force pour se rendre jusqu’au salon de la demeure. Durant cette année, sa mère quitta la maison sans dire ou laisser un seul mot, lançant qu’elle n’en pouvait plus de cette vie avec une enfant si faible. Avait-elle honte véritablement de sa fille ou plutôt était-elle trop triste de n’avoir pas pu mener à terme sa grossesse, ça personne ne le sait et depuis ce jour Mayuko se rejette l’échec de sa famille.
Comme si sa situation familiale n’était pas des plus complexes, c’est à peut prêt à ce moment là qu’elle comprit la vraie raison de l’image si taciturne de son cousin, qui était auparavant si souriant et aimant, lorsque la sœur jumelle de celui-ci vint lui rendre visite alors que son père la suppliait de ne pas faire mention de Ren. En bonne fille, elle avait obéît et c’est bien plus tard en interceptant une conversation entre son père et sa sœur qu’elle découvrit la vérité. Blessée par la cruauté qu’on faisait vivre à son jeune cousin, depuis elle s’est toujours promise de le faire sourire et voir même rire comme il lui a permit de tenir suite au départ de sa mère, en restant même des nuits en secret auprès d’elle pendant qu’elle pleurait toutes les larmes de son petit corps contre lui.