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| | hey, how you doin' lil mama lemme whisper in ya ear; |  |
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the beast of the full moons. pseudo : chun. avatar : kimmyungsoo. messages : 37 double compte : choiminae&wanggaby i'm here since : 02/08/2011
âge : 31 my heart is : Il est partagé en deux mais tout va bien pour le moment, du moment que je suis le seul à le savoir tout va bien. C’est étonnant, hm ? patronus : indéfini. animal de compagnie : une tarentule.
wizard's spellbook : 
Don't be afraid when i touch you, i just wanna love you
cuz,you are, the only exception.
 | Sujet: hey, how you doin' lil mama lemme whisper in ya ear;  Mar 16 Aoû - 12:32 | |
| Je t’aime. Un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, pas du tout. Kanye leva la tête en constatant finalement qu’il venait d’arracher la dernière pétale de la grosse fleur qu'il avait entre les mains. Pas du tout disait-elle. Quel jeu merdique. Il laissa la pauvre fleur s’écraser sur le sol, l’écrasant pour en finir avec son pied. Pas du tout. Ça ne pouvait pas être possible. Elle l’aimait un peu, c’était obligé. Il ne parlait pas de l’amour qui provient d’une certaine amitié mais bien de sentiment réels, il avait envie que la jeune fille lui appartienne. Plus il y pensait, plus son cœur s’affolait. Plus il perdait son temps à la regarder, plus sa vue ce troublait et plus il lui parlait, plus les mots ne lui venait plus. Il parlait, agissait comme un enfant et ce détestait vraiment pour ça. Mais comment peut-on en vouloir à un gamin qui ne cherche qu’à attirer l’attention d’autrui, de la femme qu'il désirerait avoir. Comment peut-on lui en vouloir sérieusement. Il fait plus de la peine qu’autre chose.
Disons juste qu’il n'avait pas trop réfléchit en lui annonçant qu'il voulait la voir à tout prix aujourd'hui. C'était sorti comme ça. Il n’avait rien contrôlé sa bouche avait bougé toute seule et sa voix avait suivi le mouvement. Après ça, il s’en était allé et avait fait sa journée de son côté. L’observant aux bras de ce garçon dont le prénom ne lui était plus inconnu : Duccio. Un prénom qu’il n’aimait pas. Un garçon, qu’il n’appréciait gère et ceux juste parce qu’il possédait ce qu’il désire tellement. Cette fille. Kanye, un gamin capricieux ? Où est le problème ? Ce n’est pas comme s’il l’était tout le temps. Comme à son habitude, pour punition, il avait l’honneur de nettoyer les couloirs de l’école et comme à son habitude, il ne traînait jamais loin d’elle, si elle se trouvait dans sa salle commune, il nettoierait et ceux pendant des heures l’entrée de la salle en lâchant quelques petits coups d’œil vers elle. Les lunettes rondes, aux traits épais sur le nez, ses cheveux pour une fois très bien coiffés, une moue mignonne sur le visage, il baissa rapidement la tête lorsque son regard croisa celui de la belka, ce planquant derrière le premier mur qui réussirait à cacher son mince corps. Idiote, comment puis-je vivre sans toi ? Ça n’était pas comme les premiers jours, je peux vous l’assurer. Là, il était bien conscient de tout ce qu’il pouvait bien ressentir pour la personne qui lui faisait face. Il n’y avait pas à se poser plusieurs fois la question. Son cœur ne cessait de battre même si ses yeux ne croisaient pas les siens, même si le son de sa voix ne lui était pas destiné. Il pouvait ressentir tout ça, son corps tout entier le ressentait, chaque battement de son cœur lui était destiné et c’était bien ce qui le frustrait. Appartenir à une personne qui n'a rien demandé. Le savait-elle ? Quel garçon stupide. Bien évidement qu’elle ne savait pas. Il baissa lourdement la tête, laissant sa paire de lunette – de vues – s’éclater majestueusement sur le sol, des rires, certains doigts pointés sur lui, on le bousculait soudainement, comme ça pour un rien. C’était souvent comme ça. Toujours comme ça. Il suffisait qu’il se promène deux petites minutes avec ses lunettes de vues pour que tout le monde le prenne pour une toute autre personne. Le jumeau de Kanye ? Quel crétin penserait ça ? Les gens qui ne le connaissent pas. Les cons, les crétins, les tout ce qui peut être négatif. Il cogna fortement sa tête contre le mur qui se trouvait en face de lui, laissant toute sa pensée abusive lui pourrir la cervelle avant de ne reprendre son travail. Il était encore chargé de nettoyer certaines salles de l’établissement. Pourquoi ? Pour avoir été insolant, pardi.
Sa vie était foutue, il n’y avait plus rien à dire, plus rien à faire condamné il était et serait. Rien n’allait dans le bon sens ou du moins dans son sens et c’était bien ce qui le perturbait. Comment amadouer le destin ? La question à laquelle personne ne pourrait lui répondre même son crétin d’ami n’avait pas pu y répondre. D’une manière ou d’une autre il fallait qu’il lui fasse les yeux doux. Il ne pouvait plus vivre comme ça, amoureux et juste bien aimé de son amie. Mi Na. Mi Na, Mi Na, une fille qu’il ne serait proprement décrire. Elle est la fille qu’il aime côtoyer. La fille qu’il aimerait prendre dans ses bras. La fille sur laquelle il fantasme comme un porc pour ne pas tourner autour du pot. Que ce soit dans ses rêves, dans ses pensées ou tout simplement maintenant. Tout de suite. Là, debout à regarder cette barque totalement vide. Ça le rend mal à l’aise de vous l’avouer comme ça. Ça n’est pas dans ses habitudes. Mais il fantasme, il fantasme tellement qu’il a parfois l’impression que c’est la réalité. L’embrasser, lui dire que tout son être lui appartient. La mettre à nue, la toucher. « ATCHOUM ! » il sursauta, tremblotant difficilement, ce simple éternuement avait comme bouleverser toutes ses neurones. Putain, comment pouvait-il se retrouver malade avec un temps pareil. Il ne faisait pas moche à dolya, le temps était frais et le soleil pointait le bout de son nez. Et pourtant, il était dans un piteux état. Il jeta un coup d’œil à sa montre à gousset, suppliant l’heure de ce magné. Il la glissa une nouvelle fois dans sa poche, regardant encore cette barque. Et s’il lui proposait de faire un tour. Qu’es qu’elle dirait ? Voilà maintenant qu’il se comportait comme un gamin.
Une question le turlupinait. C’est vrai, il ne sait plus trop pourquoi il lui a demandé de venir. S’il s'en voulait? Pas vraiment. Il ne s'en veut jamais auriez-vous oublié? Il a toujours raison, ce qu’il fait a toujours un sens - du moins c'est ce qu'il voulait faire croire -, ses décisions sont les plus justes alors à quoi bon être prit de paniquer pour un rien. C’est sur le quai qu’il l’attendrait. C'était ce qu'elle lui avait dit. Pas très loin de l’eau...Seulement, il aurait peut-être dû lui donner rendez-vous dans un tout autre endroit: dans sa chambre même si ça paraissait un peu suspect pour un garçon et une fille, ça aurait peut-être été déjà mieux, au moins il aurait eu de quoi se chauffer au lieu de mourir de froid, ici. Ou tout simplement dans ce café délabré qui ne se trouve pas très loin des deux amis. Enfin bon, on ne peut pas être parfait. On te pardonne Kanye. Pourquoi ce trouvait-il aussi poltron face à un simple lac? Vous devez surement vous poser la question: Et bien tout simplement parce qu'il n’aime pas trop l’eau, la regarder trop longtemps lui fait perdre tous ses moyens. En espérant qu’il ne soit pas pris de panique devant celle qu’il aime. Il sortit à nouveau sa montre soufflant comme un pauvre gamin, il se mit à taper du pied en agitant l’objet. C’est quand que la demi-heure arrive, il n’en pouvait plus. Il avait juste envie de la voir. Voilà, il ne pensait qu’à ça depuis un moment, la voir. Pouvoir l’avoir rien que pour lui, sans que son crétin de petit-ami ne soit dans les parages. Même les cours ne lui disaient plus trop rien, il restait là - bien évidement présent -, bien installé sur sa chaise à fixer le professeur dans le blanc des yeux. Un regard vide, insipide, il ne disait trop rien. Un regard pesant. Le manque de sommeil ce faisait voir sur son visage, l'insomnie lui avait poignardé le dos et avait décidé de faire de sa vie un enfer. Un enfer qu'il ne comptait pas oublier de ci-tôt. Alors pour oublier, pour oublier ces affreuses journées, c'était ici, qu'il passait ses soirées. Sur ce banc fragile et si froid, il était sûr que personne ne venait s'y installer de peur de le briser. Mais lui, comment pourrait-il casser ce genre chose. Il n’en avait pas l’air mais il était léger, malgré son caractère très fort. Il laissa un souffle imperméable ce glissé entre ses lèvres humides. Il rangea ses mains dans ses poches, essayant de cacher le peu de peau qui n'était pas encore recouvert par cette fichue écharpe.
Il souffla encore une fois, ce demandant quelle heure il pouvait bien être maintenant, tout de suite. A quelle heure lui avait-il donnée rendez-vous au juste? Lui-même ne le savait pas. Il se hâtait de voir la demi-heure arriver mais ne savait pas quand Mi Na comptait venir le rejoindre. De toutes les manières, il resterait ici à l'attendre, même s'il faut qu'il neige, qu'il pleuve mais aussi que qu'il fasse nuit. Il s'en fichait, c'était important. Il voulait la voir avant de ne regagner son dortoir. Il leva les yeux au ciel, gonflant avec progression les joues. Elle viendrait, il en était sûr. Sa bouche fut cacher par sa grosse écharpe noire, il s'asseye en toute lenteur en tailleur comme pour ne pas brusquer le banc. Il avait toujours les mains dans les poches de son énorme sweet gris et la capuche sur la tête, il portait un jogging de la même couleur que son sweet qu'il ne cessait de remonter au niveau de ses genoux. « Tu es en retard. » dit-il doucement à l’entente de deux talons claquaient sur le sol. C’était bien elle. Il tourna la tête, plongeant son regard noirâtre dans le sien. Le franco-coréen s’humecta les lèvres, souriant de plus belle. Il se leva lentement, il ce défi de son échappe la passant autour du cou de la belka, posant un léger baiser sur sa joue. Un baiser qu’il aurait aimé poser sur ses lèvres. Mais toujours par respect, il ne fit rien. Respectueux, parfois. Si son destin et de l’aimer sans retour, et bien il vivra ainsi. Tant pis. Semer le doute dans sa vie serait un peu dérangée. Elle a l’air si tranquille avec l’autre loup-garou. Pourquoi tout gâcher ? Peut-être que lui la fera souffrir, il a beau dire qu’il serait le plus doux du monde, il n’en sait rien. Il éternua une nouvelle fois, plongeant ses belles mains dans ses poches, mais qu’elle fraîcheur, ça en devient presque grave. « Je pensais que tu n’allais pas venir, mais vu que tu es là, portes ça. Je ne veux pas que tu attrapes froid. » il sourit, s’approchant un peu plus d’elle, collant son front contre le sien. Qu’avait-il dit tout à l’heure…être respectueux, il y a des moments où la tentation est très grande. On ne peut rien y faire. Il sentait sa tarentule ce promené le long de sa nuque, lui donnant une toutes tonne de frissons, son corps à quelques centimètres du sien, des milliers d’idées perverses lui traversait à présent l’esprit. « Où es-ce que tu étais ? » questionna le brun, en s’humectant encore une fois les lèvres, retirant à l’aide de ses doigts cette mèche rebelle qui venait ce poser sur le visage de la coréenne. Une habitude direz-vous. Il laissa un rire cristallin s’échapper de ses lèvres. « Tu m'as manqué. » tu me manques toujours. Il prit la main de la belle, la guidant tranquillement vers nul part, il avait juste envie de ce dégourdir les jambes après une telle attente. Il la porterait si elle n’avait plus la force de marcher. Il serait un bon gentleman.
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Invité
| | Sujet: Re: hey, how you doin' lil mama lemme whisper in ya ear; Jeu 18 Aoû - 16:00 | |
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« Baby, I have no story to be told,
But I’ve heard one on you and I’m gonna make your head burn,
Think of me in the depths of your despair,
Make a home down there as mine sure won’t be shared … »
Dirigeant ses doigts tremblants vers la chaîne hifi, elle monta sensiblement le volume de celle-ci avant de venir replier ses jambes contre sa poitrine. Les cours étaient terminés depuis une bonne heure et elle devait se dépêcher de se préparer pour rejoindre son ami kaban. Mais rien à faire elle n’y arrivait pas. Pourtant elle savait très bien que si elle ne le faisait pas, son état se détériorerait encore plus rapidement qu’il ne le faisait déjà mais parce que oui il y avait toujours un mais, elle avait peur. Achmophobie, la peur des seringues. Fixant l’objet miroitant dans sa main droite, elle tendit son bras gauche, examinant les formes des surfaces de ces veines saillantes. Faible, peureuse, lâche, idiote, gamine tant d’insultes qu’elle proférait à son adresse tout en rapprochant la seringue de son bras. Un nouveau traitement importé d’Angleterre par ses parents , une petite merveille qui devrait pouvoir calmer ses crises le temps qu’elle se fasse opérer et à condition qu’elle se l’injecte trois fois par jour, rien que ça. Cela faisait deux semaines qu’elle aurait du démarrer le traitement, deux semaines qu’elle tentait de se l’injecter en vain mais aujourd’hui elle comptait bien y arriver sinon elle se punirait en s’interdisant d’aller voir son ami. Kanye. Elle avait atrocement envie de le voir. Comment l’expliquer ? Elle n’en savait rien si ce n’est que la présence du jeune homme était plus qu’agréable. Sûrement parce que tout comme Noah il était l’un des seuls à connaitre la maladie de la jeune femme. Mais ce n’était pas tout à fait pour cela, pas la même relation qu’elle entretenait avec son meilleur ami belka , une tout autre amitié plus douce. Pas que sa relation avec le jeune Noah ne soit pas douce non au contraire mais plutôt que le jaune se révélait très attentionné et affectueux envers elle. Ce qu’elle appréciait. Posant l’aiguille de la seringue contre sa peau fraîche, elle tenta de se concentrer sur la musique tout en fermant avec violence ses yeux. Un deux, un deux, un deux, une deux. Trois. L’aiguille s’insinuant en elle délibérant son liquide à l’intérieur de l’une de ses veines, la jeune asiatique se mordit l’intérieur de la joue. « Putain »
Grossièreté. Elle n’en faisait habituellement pas preuve, elle détestait ça d’ailleurs trouvant de tels propos atrocement hideux au sortir de la bouche d’une jeune femme. Mais disons qu’elle savait faire des exceptions comme lorsqu’elle avait légèrement mal tel que dans le cas présent. Envoyant valser la seringue à travers le dortoir, elle s’allongea quelque seconde sur son lit, reprenant son souffle et se calmant au fil des minutes. Paranoïa ou non, le liquide semblait brulait chaque parcelle de son corps, comme si elle irradiait de l’intérieur. Toutefois sa phobie avait de fortes chances de la faire psychoter , comme elle le faisait si souvent lorsqu’elle avait peur. Se frottant vigoureusement les yeux, elle laissa s’échapper un léger bâillement d’entre ses fines lèvres avant de jeter un coup d’œil à sa montre. A quelle heure avait-elle rendez-vous avec le franco coréen ? Elle ne s’en souvenait plus, pourtant il le lui avait dit dans la journée et elle l’avait écouté puisque rien ne l’a distrayait à ce moment là, Duccio étant en cours, alors quand ? Les médecins l’avaient déjà prévenus qu’elle serait victime de légère perte de mémoire et que cela viendrait à s’aggraver tant qu’elle repousserait encore et encore la date de son opération, mais mina ne souhaitait pas y penser, sans jeux de mots bien sur; disons juste que savoir que dans six mois elle ne serait probablement plus présente la faisait paniquer et provoquait en général une crise relativement violente. Secouant la tête, elle se releva subitement, sautant de son lit avant de se diriger vers l’armoire d’où elle extrayait un ensemble. Pas besoin de garder son uniforme en dehors des cours, elle aimait s’habiller autrement qu’autrui. Tout en se dévêtissant, la jeune coréenne enfila délicatement son pendentif renfermant un comprimé puis une fois complètement déshabillé, elle s’affairait à enfiler une petite jupe ainsi qu’un haut noir et une petite veste marron. Il ne faisait pas froid à dasy pas pour le moment et la jeune asiatique détestait avoir trop chaud. Enfilant ses talons, elle saisissait un sac à mains dans lequel elle glissa son portable et une bouteille d’eau. Le premier ustensile relativement important si jamais son cher petit ami venait à la chercher. Non qu’il y ai des raisons de s’inquiéter mais mina préférait éviter les malentendus et une probable jalousie de son compagnon pour un rendez vous « amical ». L’étudiante était ainsi faite, aveugle et naïve. Trop enfantine pour percevoir les sentiments d’autrui, d’ailleurs si Duccio n’avait jamais fait le premier pas vers elle, mina n’aurait probablement jamais tenté quoi que ce soit avec lui bien que l’envie était atrocement présente mais que voulez-vous la timidité ne se combat pas aussi facilement qu’on pourrait le désirer. Pour ce qui était de kanye, il aurait été ridicule de cacher qu’elle l’appréciait énormément et que le jeune homme était bien sur très loin d’être moche bien au contraire mais elle ne cherchait pas à voir plus loin. Pourquoi d’ailleurs aurait-elle chercher à le faire ? Cela se voyait déjà bien suffisamment que leur amitié était relativement intense mais en aucun cela n’allait plus loin pour l’un comme pour l’autre. Relation fraternelle peut-être. Fermant la porte du dortoir derrière elle, la jeune verte dévala les escaliers à toute vitesse faisant claquer ses talons contre le carrelage. Si il l’attendait depuis longtemps, elle s’en mordrait les doigts. Mina détestait le retard, ce n’était pas digne d’une femme respectable de se faire attendre d’ailleurs elle ne comprenait pas ces femmes qui se faisaient constamment attendre pour tester l’affinité de leur compagnon et se faire désirer. Stupide. Passant une main dans sa chevelure, elle accéléra le pas courant légèrement dans les couloirs avant de franchir la porte d’entrée de l’institut. La tête baissée, elle tenta d’esquiver un élève en vain, son talon vint alors taper contre une pierre la faisant chuter contre les gravillons, ses genoux nus en avant. Impossibilité d’évaluer une situation, incapacité de conserver son équilibre et oublis de se protéger. Heureusement pour la belka, ses genoux avaient amortis la chute, cette fois-ci ce n’était pas sa tête qui était partie en avant ses mains restant le long de son corps sans même qu’elle ne pense à les mettre en avant. Expirant difficilement tout en grimaçant de douleur, elle ne porta pas attention à la main qui c’était tendus vers elle et s’empressa de se relever tout en s’excusant avant de reprendre son chemin vers le lac. Quelques mètres plus loin, elle se stoppa tranquillement afin d’éponger le sang qui coulait délicatement le long de ses jambes. Un mouchoir à la main, il ne lui fallut pas plus de cinq minute pour réussir à cacher quelque peu l’incident. Il n’était pas nécessaire que l’on puisse s’inquiéter pour elle. Dans le pire des cas elle mettrait la faute sur ses talons et non sur la maladie. Passant un léger coup de langue sur ses lèvres, elle ne put s’empêcher de sourire en apercevant le jeune kaban non loin d’elle. Il l’avait attendus. Inpirant tout en souriant, elle s’approcha délicatement de celui-ci, la douleur causée par sa chute semblant avoir disparus remplacé par la joie de voir son ami. « Tu es en retard. » Déglutissant douloureusement, elle murmura un léger « pardon » tout en se triturant les doigts, gênés de l’avoir fait attendre. Plongeant ses yeux vert dans le regard noirâtre du franco coréen, mina ne put que se sentir soulager en le voyant se lever souriant. Il y avait ce sentiment de joie intense qu’elle éprouvait constamment lorsqu’elle le voyait , aussi étrange cela aurait-il pu paraitre, le sourire du jeune homme avait le don de la soulager. C’est donc tout en riant légèrement, qu’elle le laissa passer son écharpe autour de son cou. Prévenant et attentif, comment cela se faisait-il qu'il n’ai pas encore de petite amie. Pourtant cela ne faisait aucun doute, de nombreuses jeunes femmes devaient lui tourner autour. Perdue dans sa réflexion, la coréenne frissonna face au baiser que venait de déposer le jeune homme sur sa joue. Inattendu, c’était la raison de sa stupéfaction mais elle n’y prêta pas plus attention ou plutôt se convainquit de ne pas y faire attention, fixant le jeune homme les sourcils écarquillés lorsqu’il éternua. « Je pensais que tu n’allais pas venir, mais vu que tu es là, portes ça. Je ne veux pas que tu attrapes froid. » Oh. Avait-il attrapé froid ? Pourtant il ne faisait pas bien froid enfin surement parce qu’elle avait courus pour le rejoindre. Culpabilisant de plus belle, elle lui adressa un sourire forcé lorsqu’il posa son front contre le sien. Si il était tombé malade en l’ayant attendus, elle finirait par s’en vouloir, d’ailleurs n’était-ce pas déjà la cas ? Replongeant son regard dans celui du jeune homme, elle sentit ses joues s’enflammer légèrement lorsqu’elle se rendit compte du peu de distance qui les séparait. « Où es-ce que tu étais ? » Bonne question, elle ne s’en souvenait plus à moins que ce ne soit les lèvres du jaune qui ne l’empêche de réfléchir correctement. C’était bien la première fois qu’elle s’en rendait compte. Des lèvres pulpeuses qu’il n’avait de cesse d’humecter. Plissant les yeux, elle se mordit la lèvre inférieure afin de se changer les idées. « Tu m'as manqué. » moi aussi. Une réponse muette. Qu’elle n’avait voulus dire à voix haute trop gêné de se rendre compte qu’il lui avait réellement manqué bien plus que cela n’aurait du être le cas. Mêlant ses doigts à ceux de l’asiatique, elle marcha délicatement à ses côtés. Ses genoux semblaient se réveiller à chaque pas qu’elle effectuait et c’est donc délicatement qu’elle s’arrêta relâchant la main de Kanye par la même occasion. « Aish. » S’abaissant tout en posant une main sur son genoux droit , elle tira la langue dans une grimace de douleur en touchant celui-ci. Relevant ses yeux afin de croiser ceux de son ami et surtout pour rassurer celui-ci, elle lui adressa un petit sourire. « Je ne devrais pas porter de talons, je ne sais pas marcher avec et au final je tombes toujours. C’est de ta faute, moi qui voulait être toute belle pour notre rendez-vous, je me suis surestimé. » Enlevant délicatement ses escarpins, elle se redressa tout en passant une main dans ses cheveux , l’autre tenant ses talons. Il y avait de l’herbe aux abords du lac, elle ne risquait donc rien à y marcher pieds nus puis knight serait là pour la prévenir si un reptile se cachait dans l’herbe verte environnante. Ouvrant son sac de sa main libre, elle en sortis un paquet de mouchoir qu’elle lança au jeune homme avant de s’approcher de celui-ci. « Tiens c’est cadeau. Tu as l’air d’avoir attrapé froid ce qui est relativement contradictoire jeune garou mais cela m’embêterait que cela prenne de l’ampleur. Puis .. » Approchant sa main du visage du jeune homme, elle fit glisser avec douceur l’un de ces doigt le long des lèvres de l’étudiant. « tes lèvres vont finir par gercer si ça continus. Si tu veux j’ai du labelo dans mon sac, enfin je crois .. » Fouillant à l’intérieur de son sac après avoir libérer sa seconde main en ayant laissé tomber ses escarpins au sol, elle se mordit la lèvre inférieur énervé de ne rien y trouver. Un sac de femme se devait de toujours être en bordel et il fallait avouer que c’était le cas de celui de la jeune asiatique. Entre bouteille d’eau, miroir, peigne, portable, écouteurs, préservatifs; elle ne s’y retrouvait décidément pas. « Arf je n’arrive pas à mettre la main dessus. Le mieux pour vaincre ton début de rhume c’est de laisser une jeune femme te réchauffer au moins tu es sur de ne pas avoir froid et pour ce qui est de tes lèvres tu n’auras même plus besoin de les humecter. » Laissant s’échapper un petit rire cristallin d’entre ses lèvres, elle lui adressa un petit clin d’œil. Les volontaires ne devraient pas manquer à l’appel. Son pouce redessinant le contour des lèvres du jeune homme, elle écarquilla les yeux en se rendant compte des sous entendus que laissait entendre son geste et la phrase qu’elle venait de lui adresser. Mina ou comment se mettre dans des situations gênantes à longueur de temps. |
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the beast of the full moons. pseudo : chun. avatar : kimmyungsoo. messages : 37 double compte : choiminae&wanggaby i'm here since : 02/08/2011
âge : 31 my heart is : Il est partagé en deux mais tout va bien pour le moment, du moment que je suis le seul à le savoir tout va bien. C’est étonnant, hm ? patronus : indéfini. animal de compagnie : une tarentule.
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| | Sujet: Re: hey, how you doin' lil mama lemme whisper in ya ear; Ven 19 Aoû - 20:36 | |
| Tu m’as manqué. En vrai il n’attendait pas vraiment de réponses de la part de la belle brune. C’était surtout pour lui mais aussi pour qu’elle le sache, sa vie sans elle ne serait pas si joyeuse. Sans elle, il ne prendrait pas plaisir à haïr ce sale type qui lui servait de petit ami. Sans elle, il n’y aurait pas vraiment de sens, il lui devait beaucoup. Comme une sorte de mère, il lui devait beaucoup. Mais le savait-elle ? Se rendait-elle compte que son simple toucher réussissait à faire battre fortement le cœur du petit garçon, que ses lèvres le rendait fou, que son corps le faisait rêvait. Hm, non tu ne sais pas, bien sûr que tu ne sais pas et je crois que pour le moment c’est mieux comme ça. Le jeune homme s’humidifia les lèvres, en posant l’écharpe en forme de collier autour du cou de celle-ci pour ne pas qu’elle attrape froid, il avait réussi à chopper la crève et ceux en s’habillant normalement et elle, la voilà en jupe, il s’en voudrait toute sa vie. Il ne la lâchait pas du regard, elle était juste sublime. Des filles de sa trempe, il doutait que ça pouvait encore existait, alors peut-être qu’il était devenu aveugle. Oui, il était devenu aveugle. Des filles qui lui courent après, elles ne sont pas très nombreuses, mais elles existent. Deux ou trois pas plus. Il n’en connait qu’une et il la croise souvent – pour ne pas dire tout le temps – , bizarrement elle se trouvait toujours sur son chemin et c’est ainsi qu’il a pu fait le rapprochement. Non, il n’est pas bête, il a rapidement compris que ça n’était pas dû au hasard, que ses rires, ses rougeurs, cette gentillesse n’étaient pas faite par hasard. Elle l’aimait, c’était clair comme de l’eau de roche et lui il préférait jouer au type qui ne voit rien. Il soupira redescendant petit à petit sur Terre. Replongeant son regard dans ceux de son interlocutrice, il joignit ses mains à celle de la belka. Elles étaient chaudes, chaleureuses et ce simple contact arrivait à lui décrochait un sourire des plus grands. Il était vraiment heureux qu’elle soit ici avec lui – sans l’autre – il se sentait revivre et c’était dans ce genre de moment, qu’il comprenait pourquoi il était en vie. Sa raison de vivre, oui, c’était ça et pas autrement. Il fut surpris lorsqu’elle détacha sa main de la sienne, qu’es ne va pas ? Pourquoi tu t’en vas comme ça ? « Aish. » il baissa les yeux suivant chaque fait et geste de la jeune fille. Son genou. Elle c’était fait mal, pourquoi ? Qui ? Comment ? Des tonnes de question naissaient dans sa tête. Il tuerait la personne qui venait à lui faire du mal. Il avait beau montrer cette image assez calme, attentif et surtout très mystérieux. En tant que bon casse-cou qui ce respect, il pouvait se montrer très violent au beau milieu de bagarre, il avait donné plus jeune, il ne faisait que ça et ne s'attirait que les foudres du dirolo. Doly, l'école qui ne lui plaisait pas tant que ça, l'école aux mauvais souvenirs. « Je ne devrais pas porter de talons, je ne sais pas marcher avec et au final je tombes toujours. C’est de ta faute, moi qui voulais être toute belle pour notre rendez-vous, je me suis surestimé. » Belle pour lui. Elle était mignonne. Il aurait peut-être dû faire de même, il aurait peut-être fait moins tâche à côté de la jeune fille, elle était si classe à côté de lui. Il s’accroupi dégageant la main de son amie, il fixa longuement le genou, relevant ensuite les yeux vers elle. « Regarde-moi. » ordonna-t-il avec cette voix douce et rassurante, avant de ne masser fortement l’égratignure lorsqu’elle vient la retirer, vaincre le mal par le mal. En la voyant grimacer, un sourire ce dessina sur ses lèvres. Ça n’avait pas l’air très grave, mais tout de même, la poisse. Qu’elle ne pense plus à lui faire plaisir, qu’elle fasse plutôt attention, voilà ce qu’il avait voulu lui dire, mais c’était comme si les mots étaient bloquaient dans sa gorge, il se contenta de soupirer. Comment vaincre ce genre de blessure, hm ? Il n’avait pas sa baguette sur lui en plus de ça. A moins que, il se releva fouillant dans les poches de son jogging, de son sweet sans manche et comme un imbécile il fit même semblant de chercher dans sa chevelure. Non rien du tout. Pas de baguette, il n’y avait que cette stupide sucette à la pomme. Il la lui tendit, riant comme un imbécile « Tu sais qu’il ne t’en faut pas beaucoup pour me plaire. Fais attention la prochaine fois, hm ? » Oui, il ne fallait même pas grand-chose pour qu’elle puisse le plaire, sa présence, son toucher, son rire. Voilà, il était bien avec tout ça.
Il la regarda ce déchausser et reprit lentement la route, il focalisait maintenant sur ses pieds, ils étaient si petits, si beaux, tout ce qui la concernait été merveilleux. Il ne faisait que rêver en sa présence. Il ouvrit la bouche pour lui proposer son aide, voulait-elle un appui ? Mais il fut rapidement coupé et surpris de son geste. Ah, un paquet de mouchoir. Il leva la tête vers elle, puis le paquet de mouchoir les regardant à tour de rôle. « Tiens c’est cadeau. Tu as l’air d’avoir attrapé froid ce qui est relativement contradictoire jeune garou mais cela m’embêterait que cela prenne de l’ampleur. Puis .. » Puis ? Il haussa un sourcil, faisant un premier pas en arrière, pourquoi s’approchait-elle de cette façon. Sa main s’arrêta sur son visage, ses doigts ce bloquèrent sur ses lèvres toujours et encore humides par sa salive. La merde. Pourquoi agissait-elle comme ça ? Pensait-elle être une bonne amie en faisant ça ? « tes lèvres vont finir par gercer si ça continus. Si tu veux j’ai du labelo dans mon sac, enfin je crois .. » le loup-garou hocha négativement de la tête, comme pour lui faire comprendre qu’il n’en voulait pas. On aurait dit sa mère, elles se faisaient toutes les deux du souci pour la même connerie : ses lèvres. Il n’avait jamais eu de problème à cause de ça. Idiote. Il rangea tranquillement le paquet de mouchoir dans sa poche, penchant légèrement la tête vers l’avant comme pour jeter un coup d’œil dans le sac de la jeune fille. Un vrai bordel. Un sac de gonzesse quoi. Trop de chose, une sorte de trou noir. Il n’arrivait à distinguer que certaines choses, pas plus, genre la seule chose qui pouvait vraiment l'intéressait: les capotes. Il soupira fortement, lui montrant son manque de patience – bien évidement il la taquinait rien de méchant – s’amusant à s’humecter les lèvres. Plus vite Mi Na. « Arf je n’arrive pas à mettre la main dessus. Le mieux pour vaincre ton début de rhume c’est de laisser une jeune femme te réchauffer au moins tu es sur de ne pas avoir froid et pour ce qui est de tes lèvres tu n’auras même plus besoin de les humecter. » il sourit doucement, penchant le plus bas la tête. Elle le faisait exprès ? Dites-moi qu’elle le fait exprès. Il laissa cet immense sourire ce dessiné sur ses lèvres, passant une main dans ses cheveux. C’était difficile d’arrêter du jour au lendemain, tout comme la cigarette. Ça faisait partit de son langage, il ne pouvait s’empêcher de le faire. Ça venait tout seul. Il la laissa redessiner le contour de ses lèvres, le bout de sa langue vient toucher la pointe de doigt avant qu’il ne le mord gentiment, le suçant sensuellement, le long de sa bouche remontant sur son doigt, histoire de la réveiller. « On peut toujours essayer, si tu veux. » il l'attrapa subitement par les poignets, il colla son corps à celui de la brune, sentant sa poitrine généreuse contre son buste. Il posa avec délicatesse ses lèvres sur sa mâchoire, remontant jusqu’à son oreille. « Bof, j’ai toujours cette envie de me les mouiller. » il fit semblant de bouder, passant ses bras autour de sa taille. Il leva la tête vers le ciel, en s’étirant le dos. Il savait très bien qu’elle parlait de lèvres. Mais si c’était celles d’une autre, il ne voulait pas, il ne voulait pas embrasser une autre fille qu’elle. C’était dit. « Les autres filles ne m’intéressent pas, elles sont trop collantes et ne me connaissent pas assez. Elles ne sont pas foutues de savoir que je n’aime pas le sucre. Regarde, cette sucette, c’est encore une idiote qui me l'a passé. Elles ne comprennent rien. » il soupira longuement, relâchant la jeune fille, il lui prit ses talons comme pour la débarrasser d’un poids et repris doucement la route. Oui, elles n’étaient pas faites pour lui. Elles ne connaissaient rien. Mais qu’elle idée de lui offrir du sucre, hm ? Mi Na, le savait elle. Elle l’avait compris toute seule. Alors pourquoi n’étaient-elles pas aussi intelligentes. Il se mordit la lèvre inférieure, ne s’arrêtant pas en si bon chemin, s’il s’arrêtait, il la prendrait encore dans ses bras et Dieu seul sait ce qu’il serait capable de faire. Il n’en pouvait déjà plus de faire semblant d’être le bon copain, il n’en pouvait plus de devoir ce contenir. Lui l’amoureux du danger, lui le casse-cou de sa dame – sa mère – pourquoi pas aujourd’hui. « Tu as des filles à me présenter toi ? » demanda-t-il en tournant la tête vers elle. Pff, si ça l’intéressait ? Pas vraiment, il voulait juste voir sa réaction. « Hm, ça serait une bonne idée tu ne trouves pas ? Présente moi cette amie qui a les cheveux courts et ce regard de croqueuse. Tu vois de qui je parle ? Ses lèvres sont comme ça! » il fit la moue avec ses lèvres comme pour imiter l'amie de Mi Na. Il s'arrêta à sa hauteur, toujours cette moue sur les lèvres « Accroches-toi à mon bras, si tu tombes je m’en voudrais toute ma vie. » un regard de croqueuse ? Il abusait un peu, mais elle n’était pas moche ça c’était clair. S’il n’avait pas été totalement in love pour la jeune fille peut-être qu’il aurait joué avec, c’était si facile. Elle avait la tête d’une fille facile, il n’était pas le seul à le dire, beaucoup le pensait. Méchant ? Lui ? Et bha putain. Il sortit de sa poche son paquet de cigarette il l’ouvrit et put constater qu’il ne lui en restait qu’une. Le sort ce jouait de lui, il lui disait limite : Stop la cigarette, ça va te pourrir. Ses colocataires ne pouvaient pas se procurer leurs propres tabacs ? Merdeux.
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| | | | | | hey, how you doin' lil mama lemme whisper in ya ear; | |
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