Il est vrai que j'aime emmerder mon monde.



 
AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  





Partagez | 
 

 Il est vrai que j'aime emmerder mon monde.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage


Wang Gabrielle
Wang Gabrielle
you look good enough to eat.

pseudo : chun.
avatar : baesuzy.
messages : 41
double compte : choiminae&kimkanye.
i'm here since : 26/06/2011
âge : 32
patronus : la pie bavarde.
animal de compagnie : un chien, tout simplement.

Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. _
MessageSujet: Il est vrai que j'aime emmerder mon monde.   Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 9:12

    Wang Gabrielle. Aimait de certains, détestait d’autres. Toujours à se plaindre, que ce soit sur son humeur ou même sur la façon dont elle est vêtue – vous me direz qu’elle ne voit rien, mais elle est chiante quand même voir même plus – à se plaindre du beau temps ou du mauvais, à se plaindre de ses personnes qui désirent tant l’aider. Elle aime se plaindre constamment, à croire que c’est un phénomène de mode qu’elle ne contrôle plus. Une journée comme les autres, Gabrielle avait papoté avec quelques amis avant de ne se rendre gentiment dans sa chambre. Comme une furie, elle s’était ruée sur son lit et avait piqué un gros somme après une lecture digne de celle d’une aveugle – seule elle se comprend – son amie, s’était arrêté en plein milieu du bouquin et lui avait soudainement demandé si elle parlait encore avec ce grand garçon brun dont elle ne connaît pas le nom. Gabrielle, avait comme tourné de l’œil. Un grand garçon brun ? Qui était brun ? Ce furent les seules questions qui lui traversèrent l’esprit, avant de ne retomber sa tête sur l’oreiller. Elle ne savait vraiment pas de qui elle parlait, des garçons elle en connaissait, non pas parce qu’elle aimait ça, loin de là – enfin un peu – mais ils étaient presque les seuls à la comprendre, même s’ils étaient les plus attentionnés mais aussi les plus collants en ce qui concerne l’aide et tout ce qui peut en suivre. Elle était aveugle, ne voyait rien et pourtant elle le vivait bien, pourquoi ne voulaient-ils pas le comprendre. Elle se sentait immensément bien comme ça. Sa façon de faire les choses avait beau être hésitante et parfois lente, mais elle le faisait bien. Alors bon. Qu’es qui ne va pas avec eux ? Elle mima un soupir, toujours enfermé dans la cabine des w-c. Ce qu’elle foutait ici ? Attendait que j’en arrive ici. Avançons plutôt doucement. Elle s’était donc endormie pour une bonne heure pensant à cet homme aux cheveux bruns, ce détail la perturbait. C’était assez difficile pour elle de se faire un portrait-robot avec un si faible objet de description. Au fond d’elle, elle pensait au prince charmant, un prince charmant construit à sa manière, elle était débordante d’imagination lorsqu’il s’agissait de faire cela, et se laissa rapidement engloutir par Morphée. Un sursaut. Un réveil des plus alertant. Elle s’était levé d’un bond, avait rebondit sur son lit et était maladroitement sur le sol de quoi ce faire un petit bleu au niveau du coude. Alter rouge. Urine, me voilà. Elle prit ses chaussons en forme d’ours et se dirigea en short, débardeur vers les toilettes, sa canne à la main, tapant partout sur son chemin. Elle avait claqué la porte d’entrée ainsi que celle de sa cabine avant de ne s’assoir sur le siège. Une fausse alerte. Une grimace s’afficha sur son visage.

    Et c’est ici qu’en vrai tout commença. Des camarades de classe entèrent dans la pièce. Elles ne cessaient de baver sur le dos de tout le monde, comme toujours pour ne pas changer. Gabrielle, ne sortit pas pour autant. Disons, qu’elle resta accroupie sur la cuve des toilettes comme si le sol se trouvait être de la lave, ses mains sur chaque mur de la cabine, les yeux vers le plafond, les oreilles bien tendues. « Le meilleur reste à venir : Wang Gabrielle Kaïra. Qu’en dites-vous les filles ? » le meilleur ? Elles le pensaient vraiment ? « Cause toujours sale traînée. » chuchota-t-elle pour elle. Elle lui ferait la peau à cette sale pimbêche. Toujours en train de lui marcher sur la face. Elle pouvait les entendre rire, se moquer, mais aussi l’imiter pour le plaisir de ses oreilles. Vraiment elle ne comprenait pas, en vrai, elle n’avait jamais compris les personnes qui se trouver la détester. Elle n’était pas bien méchante. Elle avait beau être chiante, ça ne faisait pas d’elle un monstre. Ça l’avait vraiment vexée d’entendre toute ses bêtises sur elle. Elle avait même eu le droit au surnom de fille collante. Elle collait Alexsy, oui d’après elles. Et pourtant, c’était lui le pot de colle. Rho.

    Gabrielle, était sortie des toilettes comme dépressive et ce fut quand elles partirent qu’elle se permit de sortir. Pour la première fois, la belle brune aux longs cheveux ne dit rien. C’était comme si les mots étaient bloquaient dans sa gorge. Chiante, impolie, joueuse, collante, fausse, chieuse ? Bordel, elle le savait, mais savoir que d’autres pouvaient le penser la tuée, ça ne dérangeait pas ses vrais amis, alors pourquoi, pourquoi elles ? Collante, en plus de ça ? Oh, elle se stoppa en plein chemin, les larmes aux yeux, cette grimace horrible sur le visage. S’en était trop ! Elle fondit en larmes pour la énième fois, trainant des pieds, les tapant parfois sur le sol des couloirs vides. « Je déteste ses filles ! Han ! Pourquoi je tombe toujours dans ce genre de situation ? » elle renifla, sa canne tombant sur le sol et sa tête se cognant contre ce buste dur de l’inconnu. Aish. Elle essuya ses larmes, avant de ne s’incliner en guise d’excuses et de ne se baisser pour reprendre sa canne. Cet inconnu bien évidement n’était rien d’autre que Hwang Alexsy. L’homme dont son amie parlait. Ce garçon qui l’avait aussi embrassé à plusieurs reprises, cet homme qu’elle avait aussi pris plaisir à embrasser. Cet homme qu’elle ne pouvait pas s’encadrer pour on ne sait toujours qu’elle raison. Elle connaissait son parfum par cœur, et pourtant aujourd’hui il fut comme celui d’un inconnu. Elle baissa la tête, continuant son trajet, lentement, la tête basse, en s’amusant à taper partout où elle pouvait. Qu’es que ça pouvait lui faire chier d’être aveugle bordel. Comme certains jours cette envie de voir, de pouvoir regarder les personnes en face et de lui montrer que ça ne lui plaisait pas. Elle renifla fortement, s’arrêtant à mi-chemin, elle s’écroula contre un mur, toujours là à se morfondre sur ce qu’il n’allait pas. Comment réagir, que faire ? Admettre ? C’était déjà fait et elle ne se sentait pas mieux que ça. Collante, là c’était la seule chose sur laquelle, elle disait non. Elle ne collait pas Alxesy loin de là, elle avait beau l’apprécier à sa manière elle ne le collait pas pour autant. C’était lui et lui seul. « Quel crétin. » En la voyant pleurer là, toute seule dans ses couloirs et en s’associant ses dernières paroles ont pouvaient croire de nombreuses choses. Venait-elle de se faire plaquer ? Avait-elle un chagrin d’amour. Ah, pauvre enfant.



Revenir en haut Aller en bas
https://dolyashkoly.forumsactifs.com/t203-gabylike-a-hurricane#1961 https://dolyashkoly.forumsactifs.com/t143-gabyi-m-blind-since-1991


Hwang Alexsy
Hwang Alexsy
you look good enough to eat.

pseudo : lulute.
avatar : kim soo hyun.
messages : 93
i'm here since : 01/07/2011
âge : 34
my heart is : alone.
patronus : poisson clown.
animal de compagnie : un petit chat tigrée du nom de chatbulle que j'ai receuilli un soir d'automne dans une ruelle éloignée de notre maison.
wizard's spellbook : Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. Chatooon
~. comprendre l'amour ça serait bien ; et puis essayer de protéger sa petite soeur de loin ; et puis comprendre aussi le comportement de miss catastrophe envers lui ; ainsi que celui de sa jolie hyo joo qui lui en veut, non pas comprendre, tenter de se faire pardonner plutôt ; rejoindre ji eun dans la barque la plus proche et fuir le réel ; lui dire qu'elle est belle... elle.


Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. _
MessageSujet: Re: Il est vrai que j'aime emmerder mon monde.   Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. Icon_minitimeJeu 25 Aoû - 17:00

C'était comme-ci il était rien de plus normal que Alexsy soit encore plus obsédé dans son esprit par la jeune Gabrielle qu'avant. C'était comme-ci il n'était rien de plus normal qu'il se réveille en sursaut chaque nuit courte qu'il entreprenait de prendre, le front en sueur, le visage de la jeune femme le hantait presque trop. C'était comme-ci l'obnubilation devenait presque perverse – je veux dire – ce n'est que trop rare que Alexsy se souvienne de ses rêves, ce n'est que trop rare qu'une fille en fasse aussi partie ; en ces temps de trouble inconditionnelles dans son esprit, elle le hantait, même dans les profondeurs de ses rêves, rêves qu'il pensait pouvoir s'y échapper un temps soit peu sans avoir à la croiser, sans avoir à lui parler, sans avoir à repenser à ses innombrables baisers qui lui font souffrir le martyre émotionnellement parlant, sensoriellement parlant. Il s'était levé encore très tôt ce matin-là. Il s'était encore rendu sur ce toit pour effacer tout souvenir de ses rêves les plus fous, de ses derniers jours, mois, années qu'il avait passé à la voir loin ou près de lui. Il entendait encore sa voix raisonné « nous sommes quittent. ». Oui ils étaient quittes, de toute évidence. Et il s'était promis jusque là de ne pas retomber dans son obsession incertaine, promis et juré. Redescendant dans les nombreux couloirs de l'école, il les arpentait sans vraiment de raison, il marchait, c'était tout. Marcher était parfois la seule chose qu'il pouvait faire. Marcher et respirer. Marcher et se taire. Et qui plus est quand une jeune silhouette vint s'enfoncer contre lui, la tête de la jeune femme heurtant de plein fouet son buste tandis qu'il échappait une exclamation refoulé quand il remarqua qu'il s'agissait de nulle autre que Gabrielle. Il resta planté comme un piquet tandis que des larmes se furent visible sur le visage de la jeune femme, larmes qui alertèrent ainsi sa conscience et son coeur. Alexsy aurait bien repris sa marche, ayant remarquer qu'elle n'avait pas fait le lien entre la bousculade et sa propre personne – il soupçonna qu'elle aillait trop mal pour se soucier de qui elle avait heurter – il soupçonna qu'on ai dit du mal d'elle, qu'on l'ai blessé considérablement. Il soupçonnait tellement de choses qu'il ne savait trop que faire l'apercevant déjà partir dans le croisement du couloir. Se retournant lentement vers elle, il resta planté un instant là ne sachant que trop penser, que trop faire. Il s'avérait que s'y il s'élançait à sa suite, il aurait l'air d'un crétin qui se soucie des problèmes d'une jeune femme qui n'a que faire de sa propre personne à lui. Il s'avérait que s'y il s'élançait à sa poursuite, il aurait l'air d'un crétin fini qui suit vraiment partout Gabrielle où elle va, qui la suit et qui ne semble pas vouloir arrêter de la harceler, de la coller, de toujours vouloir être là quand il ne faut pas. Il savait que quelque chose clochait dans le comportement de la jeune femme, il le sentait, c'était dans ses tripes. Malgré lui, malgré sa volonté de ne plus être obséder par quiconque et surtout pas elle, il se résignait à s'élancer à sa poursuite. À peine eut-il tourner dans le croisement qu'il l'apercevait déjà écrouler contre le mur derrière elle, les larmes coulant à flots sur ses joues rosâtre de rage. Planté encore une fois devant la contemplation de Gabrielle, alors qu'elle allait mal, alors qu'elle semblait être triste, essoufflé, perdue, complètements désarçonné, il ne bougeait pas plus, il ne savait pas comment réagir, c'était clair, il ne le savait pas. Alexsy n'avait que trop peu eu affaire à ce genre de situation grotesque. Trop peu. Un jour cela lui était arrivé de consoler sa soeur, sa petite soeur chérie qui pleurait parce que tel ou tel garçon l'avait présentement planté du jour au lendemain dans le village voisin de l'école. Ou quand ce même garçon avait plaqué sa petite soeur l'an dernier par exemple. Quoi qu'il arrive, Alexsy n'était pas fait pour consoler les gens, il ne savait déjà pas comment se consoler seul face à certains mésaventures qui le poursuivraient jusqu'à sa mort, alors comment était-il censé agir face à Gabrielle ? Il marcha un instant d'un pas lent vers elle tandis que les élèves qui se succédaient autour de lui la regardait d'un mauvais oeil. Quoi elle avait l'air d'une folle à pleurer ainsi dans un couloir ? Gabrielle avait l'air d'une fille pleurant à cause d'une déception amoureuse ou je ne sais quoi. Gabrielle pleurait c'était tout ce qui faisait réagir Alexsy. « Quel crétin. » entendit-il assez bien pour qu'il grimace lentement et s'arrête dans son élan à quelques mètres d'elle. Que faire ? Comment réagir ? C'était encore ces stupides questions qui entraient en jeu quand il n'y avait pas besoin. Quand il nétait pas indispensable de réfléchir, il réfléchissait cet idiot. « Gabrielle ?! Tu... tu vas bien ?. » C'est tout ce qu'il put dire alors qu'il s'élançait déjà à ses côtés et attrapait son bras d'un geste vif et doux pour qu'elle s'assoit lentement sur le sol froid du couloir. Il chercha son regard oubliant presque qu'elle était aveugle, oubliant presque qu'il était inutile d'être tendre, doux, gentil et attentionné à ses côtés, mais il sembla que rien n'avait été plus important que la santé et le moral de Gabrielle au moment où il l'avait vue mal au point ainsi. Sa main glissait sur son épaule pour l'adosser contre le mur et instinctivement il posait sa paume de main sur le front de la jeune fille avant de retirer tout contact qui pourrait être néfaste et déranger la jeune femme. « Tu.. Tu m'as heurté de plein fouet il y a quelques minutes... qu'es-ce que... qu'es-ce qu'il se passe ? tu.. tu t'es blessé, tu... » aucun tact. Aucune logique dans ce qu'il dit. « Je.... » Alexsy ne sait que trop mal s'exprimer en présence des filles, encore pire quand il s'agit de Gabrielle. L'obnubilation. L'obsession. Et merde. Elles sont de retour.
Revenir en haut Aller en bas
https://dolyashkoly.forumsactifs.com/t271-hwangalexsy-eveything-you-say-everthing-you-want https://dolyashkoly.forumsactifs.com/t255-reach-the-sky-and-try-to-make-it-better-underco#2340


Wang Gabrielle
Wang Gabrielle
you look good enough to eat.

pseudo : chun.
avatar : baesuzy.
messages : 41
double compte : choiminae&kimkanye.
i'm here since : 26/06/2011
âge : 32
patronus : la pie bavarde.
animal de compagnie : un chien, tout simplement.

Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. _
MessageSujet: Re: Il est vrai que j'aime emmerder mon monde.   Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. Icon_minitimeMar 30 Aoû - 16:43

    « Gabrielle ?! Tu... tu vas bien ?. » elle leva très rapidement la tête, déglutit bruyamment et ce maudit de s’être écroulé ici. Hwang Alexsy, pourquoi tu traînes toujours dans mes pâtes ? Elle plissa les yeux, renifla, cacha sa tête dans ses mains comme pour qu’il ne l’a voit pas. Elle ne voulait pas qu’il la voit dans cet état, mais vraiment pas. Il se montrerait trop doux, la toucherait et elle ne voulait pas. Oui, il se mêlerait de ce qui ne lui regarde pas. Il est comme ça, toujours à vouloir savoir ce qui ne va pas chez les gens. Etait-il psychologue ? Etait-il l’ange de sa vie pour en demander autant ? Elle n’en savait rien. Et elle se demandait s’il ne s’en rendait compte. Le pire dans tout ça, fut qu’il ce permit de la toucher, pas volontairement…enfin, c’était surtout dans le but de l’aider. Elle colla son dos contre le mur et ce maudit encore une fois pour ne s’être enfuit en courant. Si elle allait bien ? Avait-elle l’air heureuse ? Non, mais regarde-moi ses yeux, ses cheveux, ses larmes, Alexsy ouvre tes yeux bon sang. Ses derniers temps, Gabrielle n’était plus aussi rayonnante qu’avant que des événements l’a chamboule. Oui, des choses qui ne l’avait pas laissé indifférente. Ce dire qu’elle ne verrait jamais à quoi ressemble sa propre famille la rendait dans un état miteux, ce l’avouer, savoir vivre avec, non, elle ne pouvait plus. Elle ne savait vraiment plus pourquoi cette joie de vivre s’en était allé, ce dire : « je m’en fous, je suis la meilleure » ne voulait plus fonctionner. Le bouton était comme désactivé et elle avait beau appuyé dessus, en vain. Savoir aussi que certaines pensées étaient dédiées à ce crétin qui lui faisait fasse, oui, tout ça n’était pas normal et elle avait du mal à vivre avec. Amoureuse, ça ne lui était que très rarement arrivé et elle n’avait jamais osé aller vers la personne qui lui intéressait qu’un peu trop. Non, elle avait honte. Elle n’était pas faite pour aimer et c’était à base de tout ça qu’elle c’était construire une carapace bidon. Ça ne lui ressemblait pas, tout simplement. Elle était là à rejeter tout le monde à dire que tout le monde se moquait d’elle et qu’elle ne pouvait pas faire partit de leur monde, non pas qu’elle était un fardeau, non, ça c’était bien avant qu’elle n’ouvre les yeux. En vrai, elle était trop bonne pour le reste du monde, beaucoup trop intelligente, beaucoup trop avancée. Voilà, elle était la meilleure et personne ne pourrait la rattraper. Non, elle ne voulait pas admettre, qu’il lui plaisait un peu ce crétin. « Tu.. Tu m'as heurté de plein fouet il y a quelques minutes... qu'es-ce que... qu'es-ce qu'il se passe ? tu.. tu t'es blessé, tu... » alors c’était lui ? Elle essuya une nouvelle fois ses yeux, ouvrant timidement la bouche. Elle avait envie de s’excuser, de lui dire qu’elle ne l’avait pas fait exprès, mais c’était comme si son cœur lui interdisait d’être aussi douce avec l’homme qui lui faisait tellement d’effet. Son cœur battait contre sa poitrine, elle avait l’impression de battre avec lui. Ah, Alexsy je te hais. Oui, elle te hait surement pour ça. Parce que tu ne cesses de vouloir faire partit de sa vie malgré tout ce qu’elle peut te faire subir, oui, je pense que c’est la raison même.

    Elle renifla une nouvelle fois, hochant de gauche à droite la tête, non ça n’allait pas. Oui, elle répondait surement à cette question. Sa bouche s’ouvrit à nouveau, ses doigts ses posèrent dans sa longue chevelure à présent blonde par la teinture qu’une amie avait eu le plaisir de lui faire. Ça la mettrait en valeur, ça lui donnera un air plus sage. Oui, elle se souvient encore de ses paroles. Qu’elle pauvre idiote. Elle cligna des yeux, se demandant ce qu’elle devait dire. Maintenant, elle apprenait à réfléchir avec lui. C’était bizarre. Avant, elle n’en avait pas besoin. Les mots sortaient tout seul, les insultes aussi et les coups par la même occasion. Un combo qu’elle aimait lui faire. Idiot, idiot, tu ne m’aimes pas. Sombre crétin. « Pardon. Je ne l’ai pas fait exprès. » aucun autre son ne sortit. Aucune autre phrase, elle était muette. Elle baissa la tête essayant de contrôler les larmes qui voudraient envahir à nouveau son visage. La vérité peut faire mal. Parfois très mal. On a beau dire que l’on s’en fiche, les mots et la douleur sont toujours ici. C’est sûr. « Je.... » elle sourit gentiment, essuyant à nouveau ses larmes. C’est bon, c’était finit. Passe donc à autre chose joli cœur. « Pourquoi ? Pourquoi tu n’agis pas comme avant Alexsy ? Pourquoi tu ne me prends pas dans tes bras ? Pourquoi tu ne me réconforte pas ? Parle-moi. » c’était sorti contre sa volonté, mais elle était bizarrement heureuse qu’il le sache à présent. Elle avait besoin de quelqu’un, de quelqu’un qui serait peut-être changer cette tristesse qu’elle avait au plus profond d’elle. Cette histoire qui n’était qu’un horrible cauchemar. Ses pères n’étaient pas là pour le faire, alors le olen ferait l’affaire.

    Elle ferma les yeux, posa sa main sur le sol – cherchant désespérément la main de l’autre – elle posa sa main sur la sienne et lia ses doigts aux siens. Elle était triste de se l’avouer de cette manière. Ce dire qu’elle n’était pas insensible au charme du garçon. Sa tête ce posa sur son épaule avec une lenteur, un sourire vint ce dessiner sur sa bouche. La blondinette, n’avait pas vraiment de gêne dans ce genre de moment. Il était très rare qu’elle se retrouve comme ça à pleurer. Alors aujourd’hui, maintenant, elle en profiterait. Elle la serra très fort dans la sienne, repensant à tout ce qu’ils avaient pu traverser ensemble. Les souvenirs qui lui vinrent furent les disputes, son premier baiser avec lui. Oui, parce qu’il était le premier à avoir touché les lèvres de la belle olen. Cette dernière conversation qu’ils avaient eue aussi. Ils étaient quittent. Pourquoi avait-elle dit ça ? Sa bouche ce posa contre la mâchoire du jeune homme et son sourire du tonnerre ne s’effaça pas pour autant. Le voir agir de cette façon la faisait bien rire. « Dis-moi la vérité. Tu me trouves : Chiante, impolie, chieuse et tout ce qui peut en suivre ? Es-ce que je suis collante ? Ne mens pas Alexsy. » oui, elle avait besoin de savoir la vérité. La vérité de sa bouche serait suffisante. Seulement de lui. Ce garçon qui avait l’air de tellement l’apprécier. Elle savait qu’il ne serait pas dur avec qu’elle, qu’il essayerait d’être le plus doux possible, il était toujours comme ça. Elle avait l’impression qu’il voulait toujours prendre soin d’elle, il ne voulait jamais la laisser tomber et elle pouvait bien le comprendre bizarrement. C’était un peu de même de son côté, même si elle ne cessait de se voiler, de ce dire que c’était impossible. Oui, parce que ça ne peut pas être possible. D’être amoureux de la sorte. Peut-être pas amoureux alors, sous le charme si tu préfères Gabrielle Kaïra.

Revenir en haut Aller en bas
https://dolyashkoly.forumsactifs.com/t203-gabylike-a-hurricane#1961 https://dolyashkoly.forumsactifs.com/t143-gabyi-m-blind-since-1991


Hwang Alexsy
Hwang Alexsy
you look good enough to eat.

pseudo : lulute.
avatar : kim soo hyun.
messages : 93
i'm here since : 01/07/2011
âge : 34
my heart is : alone.
patronus : poisson clown.
animal de compagnie : un petit chat tigrée du nom de chatbulle que j'ai receuilli un soir d'automne dans une ruelle éloignée de notre maison.
wizard's spellbook : Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. Chatooon
~. comprendre l'amour ça serait bien ; et puis essayer de protéger sa petite soeur de loin ; et puis comprendre aussi le comportement de miss catastrophe envers lui ; ainsi que celui de sa jolie hyo joo qui lui en veut, non pas comprendre, tenter de se faire pardonner plutôt ; rejoindre ji eun dans la barque la plus proche et fuir le réel ; lui dire qu'elle est belle... elle.


Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. _
MessageSujet: Re: Il est vrai que j'aime emmerder mon monde.   Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. Icon_minitimeMer 31 Aoû - 9:51

« Pardon. Je ne l’ai pas fait exprès. » Alexsy tu es le pire des crétins. Grimaçant lentement il se mordit l'intérieur de la joue. Devait-il se maudire de ne jamais agir de la bonne façon ? La fixant lentement, il ne savait que dire. Après tout, comment était-il censé agir avec elle maintenant qu'ils s'étaient parlés, qu'ils s'étaient mis sur un pied d'égalité rétorquant à corps et âme que RIEN n'allait arriver entre eux quoi qu'il arrive ? Alexsy semblait perdu, c'était irrémédiable, mais cette journée semblait retrouver un semblant de couleur pour le jeune homme à la simple vue de la jeune femme dans son champ de vision. Il aurait tellement voulu pouvoir plonger son regard dans le sien et percevoir une once d'émotion – mais l'aveuglement qui rongeait la jeune femme le tuait lui même – ça le tuait de ne pas pouvoir se perdre dans le regard noisette de la jeune femme. « Pourquoi ? Pourquoi tu n’agis pas comme avant Alexsy ? Pourquoi tu ne me prends pas dans tes bras ? Pourquoi tu ne me réconforte pas ? Parle-moi. » Surpris par les paroles de la jeune femme, il relevait la tête lentement dans sa direction tandis qu'il fixait sa longue chevelure blonde qu'il n'appréciait que trop peu; Car à bien des égards, il n'avait vue Gabrielle que dans sa vraie nature – et la naturelle Gabrielle, brune aux cheveux soyeux, c'était ce qui lui plaisait plus autant qu'autre chose. Un soupir coupa le silence qui s'installait entre eux et il ne pouvait cesser de la fixer de son regard noir encre sans émotion. C'était son problème à Alexsy – aucune émotion physique ne pouvait discerner une pointe de compassion ou de pitié pour quelqu'un qui allait mal – d'où le fait qu'il n'agisse jamais aussi bien avec les gens. Il pourrait vous prendre dans les bras par erreur et vous le repousseriez rapidement alors depuis il s'abstient d'agir et ne fait qu'observer. Ce ne fut seulement quand les doigts froids de la jeune femme glissaient sur le sol pour rejoindre les siens qu'il se figea immédiatement, non pas que ce contact le perturbait, non ce n'était pas ça, il était juste doublement surpris des réactions que Gabrielle enchainait à son égard, il croyait à une supercherie – mais es-ce qu'il était normal que le sourire de la jeune femme qui se dessinait lentement après avoir poser sa tête sur l'épaule de Alexsy ne fasse que trop chavirer le coeur du garçon ? Peut-être jouait-elle seulement avec lui – il avait tellement l'habitude à présent qu'il ne savait même plus qui et quoi croire. Figé sur place, la tête de Gabrielle sur son épaule, il grimace doucement et inspire profondément une bouffée d'air empli du parfum de la jeune femme. Que pouvait-il faire d'autre que rester pétrifié sur place face aux agissements si soudain de la jeune feme ? « pourquoi tu n'agis pas comme avant Alexsy ? » comment agissait-il avant ? Il se ruait sur elle, il osait jouer avec le feu, voulait-elle encore se faire embrasser ? Tssst. S'en devenait maladif mais Alexsy n'arrivait pas à comprendre les femmes – pire il ne comprenait en aucun cas la jeune femme qui semblait réclamer un semblant d'attention de sa part. Le problème étant qu'elle ne s'adressait pas à la bonne personne adéquate. Alexsy n'était pas attentionné. Alexsy n'était pas doux. Alexsy ne faisait jamais de câlins aux gens tristes. Alexsy ne prenait personne dans ses bras. Alexsy n'était pas doué pour ses choses là. Il se raidit quand il sentit les lèvres de la jeune femme se poser sur sa mâchoire lentement. Il se raidit quand le contact fusionnel qui le rendait plus fou encore qu'auparavant, envoyait des frissons dans l'échine du garçon. « Dis-moi la vérité. Tu me trouves : Chiante, impolie, chieuse et tout ce qui peut en suivre ? Es-ce que je suis collante ? Ne mens pas Alexsy. » Dire la vérité ? Chiante ? Impolie ? Chieuse ? Pot de colle ? Tssst. Il échappait un soupir et malgré lui sa main libre glissa dans le dos de la jeune femme avant de se poser sur son épaule et la tourner vers lui lentement. Gabrielle avait beau être une fille qui semblait vraiment ne pas l'apprécier, ce jour-là, il ne comprenait rien mais il agissait comme il aurait du agir avec « tout le monde » ? Tsst c'était qui ce simple tout le monde après tout ?

« Si tu étais chiante, impolie, chieuse et pot de colle. Je te l'aurais forcément dit. Et en plus, c'est pas à moi qu'il faut demander cela, Gabrielle. Je veux dire... Je suis le pot de colle dans l'histoire non ? » Un léger sourire sur ses lèvres, il glissa ses doigts sur le haut de la main de la jeune femme et la pris pour la faire glisser jusqu'à son visage à lui, déposant ainsi la paume de Gabrielle sur sa joue. Un sourire en coin se dessinait sur son visage et il inspirait profondément une bouffée d'air aussi coloré par l'odeur du parfum de la jeune femme que par la sensation de ressentir toute la détresse de la jeune femme. Que pouvait-il faire merde ? Il n'était pas un garçon à qui il fallait penser quand on va mal. Il n'était pas un garçon à qui il fallait penser tout court. Il n'était rien. C'était son problème – d'être un déchec à rejeter continuellement, alors pourquoi elle s'obstinait ce jour-là à se « rapprocher » de lui ? Si c'était bien son but... « Ecoute... Si.. Si il se passe quelque chose... Dis le moi. Je ne peux pas t'aider si tu ne me dis pas ce qu'il ne va pas, nee? » Il sourit lentement tandis que sa main droite glissa le long du cou de la jeune femme pour remonter jusqu'à sa joue pour essuyer la légère larme encore fébrile qui était resté logé au coin de son nez. Il aurait voulu agir autrement avec elle, mais sachant qu'il était avant tout le pot de colle, qu'il était l'idiot chiant, qu'il était celui qui mettait le trouble dans tout ce qu'il entreprenait avec d'autres – il n'avait rien à faire de mieux que demander quel était le problème. « Gabrielle... S'il te plait... Explique moi.. » Ses doigts glissaient sur sa joue rejoindre ses lèvres. Les frolant il dessina le contour de celle-ci doucement avant que sa main ne retombe nonchalamment le long de son corps. Il ne pouvait pas respirer correctement, de peur de se réveiller. Il ne pouvait pas respirer correctement, de peur de perdre la sensation du parfum de la jeune femme. Il ne pouvait pas respirer correctement, tant qu'elle se trouvait à ses cotés. « Explique moi.. pourquoi maintenant... »
Revenir en haut Aller en bas
https://dolyashkoly.forumsactifs.com/t271-hwangalexsy-eveything-you-say-everthing-you-want https://dolyashkoly.forumsactifs.com/t255-reach-the-sky-and-try-to-make-it-better-underco#2340


Wang Gabrielle
Wang Gabrielle
you look good enough to eat.

pseudo : chun.
avatar : baesuzy.
messages : 41
double compte : choiminae&kimkanye.
i'm here since : 26/06/2011
âge : 32
patronus : la pie bavarde.
animal de compagnie : un chien, tout simplement.

Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. _
MessageSujet: Re: Il est vrai que j'aime emmerder mon monde.   Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. Icon_minitimeMer 7 Sep - 11:16

    Il lui avait dit et lui avait fait comprendre que si elle était bourrée de tous ses défauts, il n’aurait jamais été « ami ». Hébétée, voilà ce qu’elle était. Il lui mentait, c’est bien ça ? Elle n’arrivait pas à croire un mot de tout ce qu’il pouvait bien dire, la belle blonde essuya une dernière fois l’une de ses joues, reniflant légèrement. Il mentait ou l’amour le rendait complétement aveugle ? Elle n’avait pas envie de perdre ses belles habitudes et de le frapper sans arrêt bizarrement, il était beaucoup trop bête. Même elle le savait, le voyait : elle était tout ce que les jeunes filles avaient pu dire à son sujet. Une emmerdeuse et ça ne changera peut-être jamais, peut-être que plus vieille ça ne s’arrangera pas plus que ça. Elle opta alors pour le fait qu’il lui a menti. Il ne pouvait pas cacher quelque chose bien longtemps, comme ses sentiments pour elle par exemple, elle le savait depuis pas mal de temps. Depuis ce sordide accident dans les toilettes, elle n’arrivera jamais à s’en défaire hallucinant. Ses lèvres avaient touchées les siennes et la réaction de Gabrielle avait été négative, développant une fausse haine envers le garçon alors qu’en vrai, elle en tombée petit à petit amoureuse, toute sa bêtise là faisait doucement sourire, son contact était agréable même si il est vrai qu’elle n’a jamais été trop tactile avec son entourage. Elle ne pouvait pas mentir, son cœur ne cessait de battre. Elle le sentait, tout de suite, maintenant, il battait fort et appelait à l’aide, le fait qui ne lui porte pas la moindre attention le rendait rudement triste. Elle aurait aimé qu’il la console, qu’il lui dise que tout va bien et surtout qu’il ne lui mente pas ou soit aveugle n’importe. Gabrielle soupira, avala sa salive et chercha longuement ses mots. Elle boudait comme une gamine mais ne voulait pas le montrer. Elle bougonnait aussi et sentait le sang lui monter au cerveau. Alexsy par moment tu es un garçon bien énervant. « Si tu le dis. Tu es bien le seul à penser de cette façon aussi stupide. » ah oui, le seul, c’était bien sûr et certain. C’est bon, elle avait épuisé sa dernière réserve de salive, elle n’avait plus envie de parler maintenant, elle avait envie de sentir sa chaleur et elle attendait vraiment qu’il la prenne tout contre lui. Juste ça, elle ne demandait pas le monde, si ? Son enfance très peu glorieuse appuya sur la tristesse de la belle coréano-hollandaise qui portait pour second prénom Kaïra, elle n’avait jamais eu de bonnes relations, ou même une relation amoureuse, elle avait toujours été rejetée et ça part du fait qu’elle soit aveugle et surtout invivable par moment. Elle avait une grande gueule. Une grande gueule pour son âge et son statut. Toujours en train d’emmerder le monde qui pouvait l’entourer ou de vouloir être la meilleure. Insupportable. C’est vrai, parfois, elle s’en veut un peu. Elle n’avait jamais rien fait pour changer les choses, pour devenir meilleur ou tout simplement être sociable. Il pouvait tous allés se faire voir et puis de toute façon c’est la faute à pas de chance. Depuis toute jeune la chance était contre elle par moment, elle lui courrait après comme dans ce vieux film de moldu où la mort les suit.

    Elle laissa le olen guider sa main, elle se retrouva très rapidement sur la joue du garçon et elle ne put s’empêcher de sourire. Elle lui caressa la joue, le pinçant gentiment. « Ecoute... Si.. Si il se passe quelque chose... Dis le moi. Je ne peux pas t'aider si tu ne me dis pas ce qu'il ne va pas, nee? » l’aider ? Mais personne ne pouvait l’aider. Qu’irait-il faire si elle lui disait ? Frapper ses filles ? Discuter ? Elle en était sûr qu’il irait discuter et elle ne voulait pas, non pas parce qu’elle avait honte, loin de là. Ça n’est pas la première fois qu’elle envoie un homme faire le mauvais boulot à sa place, mais si ça n’est pas pour les frapper, ça ne vaut rien – étrange gamine – oui, la petite fille aux yeux de poupée haussa tout simplement les épaules, ne voulant toujours pas lui dire ce qui avait pu se passer dans les toilettes, il pouvait toujours crever pour ça. Elle sourit tout de même à toute l’attention qu’il pouvait bien lui offrir. Elle était heureuse qu’il prenne aussi soin d’elle, qu’il prenne le temps d’essuyer ses larmes, de la calmer. Oui, parce qu’elle en avait besoin. « Gabrielle... S'il te plait... Explique moi.. » elle secoua la tête de gauche à droite comme pour lui faire comprendre qu’elle ne pouvait pas. C’était impossible. Elle trembla légèrement en sentant les doigts du plus vieux sur ses lèvres, non mais qu’es qui t’arrives mon grand ? Tout contact fut couper et elle put à présent respirer correctement. Elle n’en pouvait plus. « Explique moi.. pourquoi maintenant... »[/quote] elle soupira à son tour, se séparant un peu de la personne qu’elle semblait aimer à la folie, vraiment, elle ne savait pas pourquoi c’était comme ça. Elle n’avait rien envie de dire et pourtant il ne lui fallut pas beaucoup de temps pour tout avouer, pas le temps de faire la muette, elle avait une bouche quitte à l’utiliser « Je déteste ses filles, nous sommes souvent dans les même cours et je crois qu’elles ne m’aiment pas. Tu sais, ce n’est pas un problème si tout le monde me déteste, mais à l’heure d’aujourd’hui je ne vais pas très bien Alex, je crois même que je ne vais pas bien du tout et il en a fallu si peu pour me mettre dans cet état. Elles me jugent alors que je ne les connais même pas et inversement ! Je vais le tuer, lorsque j’en aurais l’occasion je les tuerais. » elle parlait, parlait, Gabrielle est une bavarde ça n’est pas nouveau. Elle parlait tellement qu’elle ne s’arrêtait même plus. Qu’ils aillent tous ce faire voir de toute manière, voilà ce qu’elle ne cessait de crier haut et fort, elle finirait par les tuer de toutes manières. Elle soupira encore une fois, avalant sa salive avant de ne reprendre. « Je ne sais pas, elle on même osées dire que je te collais, que j’étais constamment sûr toi, alors que ça n’est pas vraiment le cas, c’est plutôt toi qui me suit, hm ? » dit-elle en souriant, oui, c’était lui, il ne pouvait pas le nier. Un sourire angélique illumina son visage, ses yeux vides s’ouvrirent grands et les cogna ses deux poings sur ses cuisses. « Elles ne payent rien pour attendre. »
Revenir en haut Aller en bas
https://dolyashkoly.forumsactifs.com/t203-gabylike-a-hurricane#1961 https://dolyashkoly.forumsactifs.com/t143-gabyi-m-blind-since-1991


Contenu sponsorisé


Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. _
MessageSujet: Re: Il est vrai que j'aime emmerder mon monde.   Il est vrai que j'aime emmerder mon monde. Icon_minitime

Revenir en haut Aller en bas
 

Il est vrai que j'aime emmerder mon monde.

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 

Page 1 sur 1

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
. . D O L Y A S H K O L Y . .  :: pechalʹnyĭ's castle :: 1er étage :: couloirs-