Like the little boy when she saw him for the first time. Le regard de petite fille extravertie et énergique qui croise celui d'un petit garçon dont le sourire légèrement effacé se dessinait légèrement sur son visage. Le regard de la petite fille jouit de bonheur et les couleurs de ses joues se manifestent lentement. Quand au petit garçon aux cheveux noirs, noirs de jais, noir corbeau, il regarde le robuste homme face à lui. La petite fille a gâché tout en manifestant un geste anodin pour elle-même, pour lui-même. Ce baiser insignifiant qu'elle déposait sur les lèvres du garçon devant les invités de son père à lui, de son père à elle aussi ; son père, c'est rapidement qu'il l'a ramenait chez elle, chez eux, pour ce comportement dont il fut outré et par dessus tout spectaculairement surpris. La petite fille de huit ans à peine s'empressait de courir dans le fin fond petit coin de sa chambre pour ne pas entendre et subir la colère de son père, contrarié, déçu et interloqué par les agissements incertains, incontrôlés de sa fille. Sa fille Hanabi. Savait-elle seulement que ce jour-là, les lèvres du petit garçon que les siennes rejoignirent par mégarde était celle de Yoshikawara Yuuta ? Non surement pas. Non surtout pas. Hanabi ne l'a jamais sue jusque là. Hanabi a toujours eu en tête cet unique baiser qui n'était rien qu'un bisou entre petits enfants. Elle se rappelait ainsi que le petit garçon n'avait que dix ans, et que, par une chance incroyable il s'agissait de son anniversaire. Son dixième anniversaire, enfermé dans le bureau de son père où Hanabi l'en avait sortie. Comme-ci il était normal d'enfermer son enfant lors de son anniversaire ? Hanabi s'était empressé de courir dans la salle où était réunis tout les convives quand dans un élan le petit garçon l'avait suivit, pourquoi, comment, et dans quels circonstances, ils se retrouvèrent dans cette première déstabilisation entre eux ? Parce que le père du garçon, surpris de voir son propre fils courir derrière une gamine, échappa un soupir de mécontentement avant de présenter son fils d'une vive voix. Parce que le père de la petite fille, surpris aussi de voir sa fille courir avec un garçon derrière lui, surpris et mécontent car pour lui personne n'a la possibilité et le droit d'approcher sa seule enfant, sa seule fille à lui, criait déjà le prénom de la petite aussi. Dans un élan les deux s'étaient arrêtés puis tournés vers leurs parents respectifs se retrouvant dans une incertaine situation. La tête de Hanabi tourné derrière elle, celle du garçon vers le regard et la voix froide de son père derrière la jeune fille inconnue qu'il suivait. Et par inadvertance, leurs visages se retrouvaient à quelques centimètres l'un de l'autre. Car il l'avait suivie de près. Car elle l'avait suivie aussi de près. Car ils étaient forcément liés par le destin.

Like the smiling boy when she saw him taking one dumped by this girl. Le cliquetis de l'appareil photo retentissait et le flash surgissait une énième fois sur le sourire radieux de la jeune fille vêtue de son uniforme de lycéenne. Le photographe en herbe était encore là. Encore et toujours. Accompagné de cette fille souriante et heureuse. Sortaient-ils ensemble ? C'était probable, plus que probable ; un énième rire parvenait aux oreilles de Ozora Hanabi, la peste de collégienne de dernière année. Un énième sourire plus vaste, plus éclairé par le soleil qu'auparavant surgissait sur le visage du garçon inconnu, du photographe en herbe. Voilà un an, peut-être deux, que les filles de sa classe ne cessent de rabâcher des niaises déclarations sur leur contemplation pour les sempaï du lycée d'à côté. Voilà un an, peut-être deux, que la peste narcissique qui souriait et riait de bon coeur avec le garçon qui l'escortait tout les jours, son majordome depuis ses dix ans, remarquait ce sempaï là, de loin, de près. Elle aimait son sourire. Elle aimait ses manières. Il était tout bonnement fascinant. Fascinant et unique fascinant, depuis deux ans, depuis trois ans peut-être, Hanabi ne saurait définir depuis quand son regard s'est posé sur lui, depuis quand elle le connait partiellement. Elle le connait, à travers ses sourires, ses rires, ses expressions, sa stature, sa façon d'être. Car il était juste lui-même. Et Hanabi n'était pas elle-même. C'était une image. La peste était fragile ; la peste resterait fragile malgré son côté puéril qui resterait aussi présent jour et nuit, jusqu'à la vie et à la mort, ou peut-être pas. Et quand du jour au lendemain, le garçon souriant dont le nom lui échappait encore, dont le nom ne lui serait donné qu'en fin d'années seulement, quand le gaçon souriant arrivait seul, arrivait sans cet appareil photo qui avait semblé être toute sa vie, arrivait sans ce sourire du merveilleux matin, elle comprenait que quelque chose changeait, que quelque chose devenait différent, qu'il était encore plus inaccessible qu'au départ. L’inaccessibilité du lycéen à la collégienne arrogante. Son sourire à elle s'effaçait directement quand son regard plongé sur sa silhouette perdait de sa valeur, de son intensité. Le lycéen marchait, tranquillement, seul, perdu dans ses pensées les plus profondes, elle supposait. Et puis quand une voix criait son nom. Yoshikawara. Elle sursautait. Et il se retournait fixant un moment sa silhouette à elle, fixant un moment Ozora Hanabi avant de sourire puis de tourner son regard vers la fille, cette fille qui semblait être une amie proche, plus que proche de lui. Il souriait légèrement, timidement. Quelque chose avait changer. Et puis son regard posé sur Hanabi, ce sourire. Ils n'étaient point pour elle. Elle supposait.

Hate the boy who made his friend suffer. Love the boy far off, by lying, by believing in his own madness. Car le garçon souriant n'était qu'un énorme idiot. Car le garçon souriant fascinait toujours Hanabi, en cachette, au fond d'elle. Mais elle se mentait à elle même, elle tentait de se prouver le contraire. En le torturant de toutes les manières possibles, comme il avait torturer le coeur de son amie, à elle. En le torturant de toutes les manières possibles, en se mettant à dos tout ceux qui sont contre ses formalités pour le faire souffrir. Hanabi lui lançait des tomates, des verres d'eau, pire encore, elle lui avait préparé tant de choses désastreusement médiocres, trop médiocres venant de la part de mademoiselle Ozora. Acharnement qui ne vaut rien. Acharnement idiot et stupide pour prouver à soit-même que l’impossibilité de l'aimer est là. L'aimer. et être aimer en retour. C'est deux choses différentes. Hanabi le sait. Et depuis longtemps, même si, au fond elle l'avait admiré, même si au fond cette photo cachée dans son porte feuille depuis un an, ou deux ans peut-être plus même, montrait son admiration, sa fascination pour le garçon, le jeune homme dont le sourire avait totalement disparu suite à son arrivée à elle au lycée, suite à sa connerie de devoir le torturer. Quel est vraiment l’impossibilité de l'aimer ? l'inaccessibilité peut-être ? Puis un jour, elle perdit ce qui lui fut le plus cher au monde. Le collier qui appartenait à sa mère, dont le pendentif en forme de coeur était aussi une signification incertaine dans la vie inconnue de sa propre mère. Tout ce que Hanabi savait. C'était que toute sa rancœur envers Yoshikawara, toute sa rancœur envers ceux qu'elle avait détester auparavant, elle s'en fichait royalement. Pour elle, autant échanger la rancœur contre ce pendentif qui était tout. Ce petit coeur. Elle ne le retrouva jamais. C'est seulement quand son petit ami actuel, Oshio, revenait avec un pendentif semblable, qu'elle comprenait les doux gestes affectifs, et malgré elle, elle acceptait, en silence, même si il n'était pas l'original.

Love a stupid boy further to a dangerous game in toilet. Love a stupid boy further to a goukon which was not absolutely of no use only to move closer them a little any more. Love a stupid boy who saved her only a little more uncertain drunkenness. Love a boy until want to kill of love for him. Love a boy by knowing that the other one loves him in return. Love a boy and play his jealousy. Love a boy and leave him for voucher. Tout ça paraissait stupide pour Hanabi. Depuis le début ils n'étaient pas promus à finir ensemble, jamais. Autant dire, que toutes les catastrophes qui firent que Hanabi partie. Partie loin d'ici, loin de lui, loin de tout ses souvenirs encombrants son esprit malgré tout, ses souvenirs qu'elle écrivit sur papier pendant deux longues années ; deux unique et longues années où l'ivresse d'un soir lui fit rencontrer un pseudo fiancé de toit d'immeuble, lui détourna la tête quand elle embrassa son propre meilleur ami qui l'avait sauvé de dangereux pervers les premiers jours qu'elle vécue à Séoul. Séoul. Elle pensait qu'au départ, Akiko, Yuriko, le goukon, le cinéma, l'alcool, la boite de nuit, le centre commercial, et d'énièmes autres endroits où ils finirent par vivre le bonheur et le malheur. Les baisers de Yuuta. La dernière fois qu'elle le vit. Cette baignoire qui fut presque bénit de ne pas les avoir baigner un peu plus dans leurs moeurs, dans leurs amours. Hanabi était obsédée par lui, uniquement lui. Depuis toujours et encore aujourd'hui, alors pourquoi ? Pourquoi autant de temps avant de se rendre compte du vrai amour que l'on porte pour la personne ? Hanabi perdait. Misaki, la fille qui souriait au photographe en herbe, avait gagné. Et la mauvaise perdante fuyait, pensant qu'il s'agissait de la meilleure solution après tout. Et malgré elle, s'effondrer au milieu d'une foule, perdant espoir, aurait été une possibilité, mais Hanabi ne perdant pas espoir, vivait encore, vivait sans vivre, vivait en reprenant en main sa propre personne jusque là, jusqu'à maintenant.

Love the photographer who re-appeared in his life as a failing memory. Love the girl who gathered them again under the glance opposed by the models. Like the simple idea to be with him during a long and only journey. Love the one who revealed her so many things; love simply loving the one who eventually stops her in his flight under a pouring rain. Un soupir. Un pleur. Un amour irrémédiablement unique. Car le sourire de Yuuta était sa vie, sa survie, à elle, juste à Hanabi. Car les retrouvailles torturants le coeur de la jeune femme rencontrèrent des difficultés. Car chaque situation devient catastrophique en leur présence à eux deux. Mais de toute évidence, l'amour n'est que plus pure. L'amour qui les lie n'est que plus pure, oui. Un simple regard vers lui et son coeur bat la chamade. Un simple sourire pour lui, et son esprit déraille, elle devient folle, elle est troublée. Une mannequin assouvie par sa soif de commérage qui rencontre Hanabi et la petite Maery, les soit disant amours de la vie de Yuuta. La soit disant fiancée et la soit disant fille. Un couple parfait. C'est ce groupe de mot qui rebondissait dans l'esprit de Hanabi quand leurs lèvres se furent scellés une nouvelle fois, dans le parc, sous le regards des mannequins enragés. Un amour torturant leurs propres coeurs. Un amour qui ne pouvait être pour l'instant. Amour qui se définissait comme étant réel et unique suite à une erreur de la part de Hanabi en se levant dans un avion qui traversait une turbulence momentanée. Erreur qui lui fut fatale. Nez à nez avec lui. Toujours lui. Le destin les lie. Encore et toujours. Pour toujours. Car par la suite, en plus d'avoir été asperger de liquide dans une énième turbulence, en plus d'avoir eu à chercher le frère de Hanabi, en plus d'avoir fini dans le même lit avec une ivresse mutuelle, en plus d'avoir fini dans un désert suite à la bêtise de Hanabi d'entrer dans un casino seule, en plus d'avoir eu leur premier rendez vous inhabituel sur la plage près de la ferme de la vieille dame qui les recueillie après leur périple , en plus d'avoir assister à l'accident de celui qu'elle aime et de s'être sentie fautive, toujours et encore, car de toute manière c'était ainsi. C'était ainsi que les aimants à problèmes finissaient. Dans une situation horriblement gênante, embarrassante ou même dangereuse.

Love the boy who got into debt for years. Love the same boy for a long time without knowing it. Love the same boy who loves her in return. The happy end? Une pluie torrentielle. Un bus. Et des baisers sous la pluie. Une promesse de rester auprès de l'autre pour toujours et le garçon stupide la tirait déjà vers la première bijouterie visible, trempés jusqu'aux os, malade. Une bague ; un amour éternel. Hanabi ne cessa de se répéter que l'absurdité de Yuuta était démesuré. Mais c'est seulement en le ramenant chez elle qu'elle comprenait la vraie réalité des sentiments, la vraie réalité de l'amour qu'elle lui portait. Il était et il serait. Pour toujours. Son Yuuta. Car cette bague était tout. Car cette demande instantanée de sa part, qui malgré tout laissait Hanabi interloquée, était tout sauf irréelle. Car au final, ils gagnaient. Car au final, ils devenaient. « Je vais avoir l’air ridicule à répéter de mièvres répliques d’histoire à l’eau de rose. Mais… Je t’aime. Et… merci. » Un rire et un sourire. Yuuta et Hanabi étaient, jusqu'à la fin, ensemble. Une Happy Ending tant redouté, tant demandé, tant voulue des deux côtés. Une attraction physique qui ne cessait de les rapprocher jusque là. Une chimie qui fit que le simple fait de s'embrasser provoquait un frisson démesuré à l'échine de Hanabi. « Je suis un inconscient. Mais je t’ai promis… te faire attention. Alors, pour ce soir, oublions Papa Ozora. Je pars. Mais toi aussi, tu m’as promis. De rester avec moi. Pour toujours. » Alors qu'elle l'avait suivie par la fenêtre, elle se promettait de rester avec lui, réellement. Alors qu'elle l'avait suivie par la fenêtre, ils décidèrent de se voir, encore et encore, malgré tout, en cachette surement, contre les indications de Papa Ozora sur les fréquentations de Hanabi, mais pour leur amour, car il était seulement unique.

« Où vas-tu Hanabi ? »

Enième question stupide de Papa Ozora à sa fille. Et celle-ci descendant les escaliers accompagnés d'une valise qui voulait tout dire le fixa un instant tandis qu'un sourire et un rire survinrent de la bouche de son père. Elle avait déjà jouer à cela, quelques semaines auparavant, quelques jours après sa première séparation avec Yuuta, cette présence qui lui manquait irrémédiablement. Le seul fait de ne pas être avec lui, faisait bondir le coeur de Hanabi comme étant en manque de Yuuta. Yuuta. Son Yuuta. Elle l'avait qu'ils s'attendraient, toujours et encore, mais la simple pression des mots de son père réussissait à la faire douter, douter de cet amour indésoudable. Et si il arrivait quelque chose à Yuuta du jour au lendemain ? Elle s'en voudrait, toute sa vie.

« Hanabi. Tu dois rencontrer... Jae Kyung-sunbae cet après-midi. »

C'était fini. Fini. Terminé. Hanabi n'était plus une esclave qui allait exécuter les énièmes souhaits de son père quand à un mariage préparé et organisé à l'avance pour elle, un mariage dont elle ne voulait pas. Le seul qu'elle veuille, ce fut le sien, avec lui. avec Yuuta. Un sourire se dessinant sur son visage, elle hochait la tête en désapprobation et la porte s'ouvrait. Elle se promettait de ne pas faire demi tour comme Lamon avait réussi à parvenir à un retour en arrière de sa part quelques semaines avant. Elle se promettait de ne pas retourner en arrière et de ne voir que lui, que Yuuta à présent et de toute façon ça à toujours été ainsi, depuis le début, depuis tout ce qu'ils ont vécus.

« Erm.. un café. s'il vous plait. »

Assise au starsbucks de Myeongdong, elle l'attend. Comme elle a pris l'habitude de le faire depuis deux semaines maintenant. Elle l'attend avec amour et juste amour. Car il s'agit maintenant qu'une question de temps pour que Yuuta et elle soient liés pour toujours. Car il s'agit maintenant qu'une question de temps pour qu'elle ne cède à la panique de croire qu'il puisse lui arriver quelque chose. Mais alors que ses yeux se posent sur la silhouette qui entre dans le café, elle sourit, elle ne peut pas s'en empêcher. C'est comme au tout début. C'est comme quand elle le regardait de son côté cachée dans un uniforme de collégienne sans scrupule. Yuuta n'a pas changé, seulement dans son coeur, passant d'une admiration incertaine à une haine désastreusement ironique pour finir dans un amour inconditionnelle depuis plus de deux ans, trois ans, quatre ans peut-être. Hanabi ne saurait définir depuis combien de temps cela dure. Il s'agit juste d'un amour qui vivra pour toujours. Elle l'espère. Elle y croit. Maintenant c'est sure. Et quand la silhouette de Yuuta se dirige vers elle, elle sourit de plus belle resserrant son emprise sur sa tasse tandis qu'il s'assoit, devant elle et qu'elle retient un tremblement. Car la pression du père de Hanabi est de trop. Car elle a légèrement peur, trop peur pour lui, uniquement pour lui, pour eux.

« Erm... Yuu.. Yuuta... »

Des mots incertains, des gestes incertains. Elle glisse lentement auprès de lui sur la banquette et vient immédiatement poser sa tête sur son épaule en fermant les yeux un instant. Elle a lâchée sa tasse pour glisser ses doigts entre les siens. Elle se mord la lèvre et ses iris chocolat croisent les siennes. Ce contact, cette chimie. Elle est irrémédiablement la même que toutes les fois où ils se sont retrouvés l'un contre l'autre, l'un avec l'autre. Leurs doigts entrelacés. Leurs regards qui ne se lâchent plus. Un léger sourire se dessine sur le visage de Hanabi, léger sourire timide. Car la situation lui échappe encore. Car les rendez vous cachés lui échappent encore. Car tout ça, lui échappe.

« Tu sais que tu manques beaucoup à Hanabi... »

Elle enfouie son visage dans son cou et soupire.

« Voui... Tu me manques... beaucoup... trop. Et en plus. Papa Ozora a décidé de ne pas me lâcher. Alors.. erm... j'ai... agis bêtement. Sans t'en parler. Je... j'ai quitté la maison... j'veux dire... vraiment. Il n'y avait personne pour m'arrêter, enfin si, mon père, mais il n'avait qu'une envie c'est encore menacer ta vie, et je... je ne veux pas. Si il t'arrivait quelque chose, je m'en voudrais tu sais ? Vraiment. Parce que... erm... Parce que Hanabi t'aime, parce que Je t'aime, parce que... »

Et leurs lèvres se scellèrent. Les douces lèvres de Yuuta avaient rejointes celles de Hanabi dans un excès de stress et d'incompréhension de la part de la jeune fille et de son discours inutile qui définissait mal ses agissements stupides. Pas si stupide que cela puisque Yuuta et Hanabi étaient, et seraient. Mettant fin au discours insensé de Hanabi, le baiser dura un moment, laissant les clients marmonnés des mécontentement sur leur comportement, sans vraiment qu'elle ne s'en soucie autant que ça. La langue de Hanabi se mêle à celle de Yuuta. Ses yeux clos. Elle n'éprouve que le désir de prolonger un peu plus ce baiser qui n'a rien à faire ici, dans cette situation. Mais elle s'en fiche. La simple présence de Yuuta réussit à calmer Hanabi, bien que ses ardeurs soient mis à vif avec un simple contact, un simple baiser. Hanabi ne veut pas mettre fin au baiser autant que Yuuta. Ses doigts courent lentement sur son torse avant de rejoindre sa joue. Sa paume glisse sur l'arrête de sa mâchoire puis sur sa joue tandis que son bras se glisse autour de son cou et qu'elle se sent obligé de se coller un peu plus à lui.