if you're ready for this fling then meet me at the back.
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Baek Duccio
the beast of the full moons.
pseudo : ash. avatar : yoon du jun. (beast) messages : 123 double compte : song angela & reaver allan. i'm here since : 25/06/2011âge : 34 my heart is : cerco di notte in ogni stella un tuo riflesso ùa tutto questo a me non basta adesso cresco. patronus : ta mère ? je suis certain qu'on viendrait pas me faire chier si c'était vraiment le cas. je vais y réfléchir. animal de compagnie : chauve-souris du nom de cranberry.wizard's spellbook :
qui l'inverno non ha paura, io senza di te un po' ne ho. qui la rabbia è senza misura, io senza di te, non lo so. e la notte balla da sola, senza di te non ballerò. capitano abbatti le mura... che da solo non ce la farò.
j'ai une putain d'envie de retourner en italie et d'y pourrir, tiens.
Sujet: if you're ready for this fling then meet me at the back. Sam 25 Juin - 18:33
featuring yoon dujun (beast).
BAEK DUCCIO
привет ! je m'appelle baek duccio, j'ai 22 ans, je suis d'origine italienne et coréenne. je suis né un 6 juin 1989, ce qui fait que je suis en 8ième année. je suis un loup-garou sorcier de sang-mêlé (transformation complète + bipède), et je suis ici depuis l'âge de 15 ans, puisque j'ai été mordu à mes dix ans et qu'on a trouvé nulle part ailleurs où me mettre que dans cette école exilée qui recueille les gens de mon espèce. sinon, mon animal de compagnie, c'est une chauve-souris, et elle se nomme cranberry. ma baguette, elle, elle mesure 21.7 cm, est en bois d'acajou et contient une plume d'hippogriffe; quant à la maison à laquelle je souhaite être réparti, c'est giena, et j'aimerais bien que vous évitiez olen.
never judge a book by its cover
LET ME ASK YOU A FEW QUESTIONS;
1. une journée idéale pour toi, c'est ?
le musé vient d'ouvrir ses portes, on pourrait y aller avec mes amis. si j'avais vraiment le choix, je partirais à l'aventure dans le monde moldu et j'essaierais de me faire passer pour l'un d'eux, juste pour en apprendre plus, même si maman me l'interdit. la dernière fois c'est mon pote qui m'avait foutu la journée en l'air, l'heure de la vengence a sonné. aujourd'hui on met tout en oeuvre pour lui pourrir la vie et lui faire chialer sa mère. ne rien faire et avoir tout le temps pour moi, ça tombe bien j'ai encore deux tomes de "la vélane aux bois dormant" à lire. passer du temps avec les gens de ma maison pour apprendre à les connaître. je vais acheter des pétards sorciers dans le magasin du coin, chiche qu'on se fait décoller celui en forme de dragon ! bwarf j'en sais rien moi, j'vis au jour le jour, on verra bien c'qui se présente.
2. tu te retrouves face à une intersection mal indiquée, que fais-tu ?
tout droit, ça me coûtera moins d'effort que de tourner. j'arrête la première voiture qui passe pour demander des informations... au pire, s'il me propose le transport, j'embarque ! tout d'abord, je vérifie le signal de mon portable. s'il fonctionne, j'appelle mon amie callée en géographie et je lui demande les indiquations. sinon, je rebrousse le chemin, en plus, il commence à faire noir donc... j'reviendrai demain avec les outils en main. j'fais au pif puis si c'est la mauvaise j'reviendrai sur mes pas ! j'attrape le premier passant qui passe en lui disant que j'suis à la recherche d'un trésor caché, j'le laisse passer devant, si y s'fait pas bouffer, ben, j'passe. je regarde où la mousse pousse le plus, je dois suivre la direction nord, donc. on pourrait faire deux groupes de deux et chaque groupe prendrait une route différente ?
3. la personne qui te plaît depuis déjà plusieurs mois vient te rejoindre à ta chambre, tout ce que tu attendais, seulement... il/elle est complètement saoul(e) ! comment gères-tu la situation ?
elle m'allume, j'vais pas cracher dessus ! euh... eh bien ... je ne sais pas moi. que ... qu'est-ce que je dois faire. et puis.. pourquoi elle me touche comme ça, je suis encore puceau moi ! elle est jolie, mais à tous les coups elle va se mettre à pleurer ... ah ben voilà. qu'est-ce que je fais maintenant ? la consoler, c'est le seul truc que je sais faire. j'avais parié avec mon pote qu'elle avait une culotte rose, il est temps de savoir si j'ai gagné ou pas. j'profite du moment, elle est consentante non ? elle le dit, là. quoi, demain ? ben, oubliette ? oooooooh ! pourquoi j'étais pas à cette soirée, moi aussi je voulais m'amuser avec tout le monde ! heureusement que j'ai toujours du café sous la main, ça la désaoulera.
4. tu viens de découvrir ton hamster mort dans sa cage, quelle est ta réaction ?
je suis anéanti et je cherche partout comme un désespéré pour trouver le moyen de le ramener à la vie. je l'aimais tellement ! ;O; c'est triste, ... j'me demande si je peux l'empailler ... hamster ? j'ai jamais eu d'hamster ! tu m'as pris pour une chochotte ou quoi ?! quoi ? zut ! c'est la cinquième fois ce mois-ci. ggrmmbl papa va me tuer. attend ?! de quoi il est mort ! si ça se trouve c'est un virus hyper contagieux ! *sort le masque* pour toutes les fois ou il m'a mordu, c'est la vengeance suprême ... héhé. oh ça me désole, j'vais sortir et passer du temps avec mes amis. ça va me faire du bien.
5. quelle est ta matière préférée ?
étude des runes, divination, les trucs dans le genre. potions, à tous les coups y a moyen de contrôler le monde avec ça. les cours de vol, ou les entrainements de quidditch. ou peu importe, tant que c'est pas assis derrière mon bureau à rien glander... histoire de la magie ! c'est tellement passionnant. la métamorphose. prendre la forme des gens et s'infiltrer dans leur vie... uhuh. soins aux créatures magiques, j'adore être en contact avec les animaux. défense contre les forces du mal, parce que plus tard j'voudrais bien devenir un espèce d'aurore masqué qui travaille dans l'ombre.
JUST LOVE YOURSELF AND YOU'RE SET;
« monica, je te conseille de lâcher ce téléphone tout de suite ou tu t'en manges une. » c'était la voix de mon père, italien de pure souche, qui venait de s'élever dans les airs, en même temps que son doigt. 22H34, l'heure de l'ultimatum. Généralement, les disputes débutaient toujours une bonne trentaine de minutes avant qu'il ne se mette à menacer. Mais une chose était certaine : il ne plaisantait jamais. Le système du je compte jusqu'à trois était un de ses préférés, et des plus utilisés, mais ces derniers temps il avait plutôt tendance à brûler les étapes. Pas spécialement impatient de nature, les années en compagnie de ma mère l'avaient complètement transformé. C'est à peine si il pouvait attendre plus de dix secondes qu'on lui apporte son café noir le matin : non, il fallait vraiment que la boisson soit posée sur la table pile au moment où il arrivait dans la cuisine. Ni avant, ni après. Il trouvait, cependant, toujours quelque chose à redire. C'est trop froid, c'est trop chaud, c'est trop long, c'est trop doux. Plus rien ne lui convenait et, même lorsque, miraculeusement, c'était parfait, il se devait de quand même faire un reproche. « c'est un principe, duccio. Tu comprends ? Tu ne peux pas laisser une femme te marcher dessus, c'est une humiliation. » alors, en bon fiston que j'étais, je tentais de comprendre et de mettre les conseils de mon père en œuvre. Plutôt facile quand, en classe, j'ignorais la gente féminine : elle ne devait pas mériter mon attention. Je ne me forçais donc pas à aller vers les fillettes comme l’encourageait le professeur, prenant même la peine de gentiment les recaler lorsqu'elles désiraient jouer avec moi. Mais ça, c'était facile : assimiler les enseignements du paternel était beaucoup plus compliqué lorsque je le voyais lever la main sur monica, ma mère. Cette dernière avait finalement pris l'habitude de se caler contre un mur et de s'asseoir par terre le temps que son mari arrête de lui filer des coups. Bleus, coquards, plaies, il faut dire que les cicatrices de guerre de ma belle génitrice étaient nombreuses : mais elle se relevait toujours. Parce qu'elle n'avait pas le choix, qu'elle ne voulait pas qu'on m'arrache à elle ou simplement parce qu'elle ne voulait pas ruiner la réputation de mon père en lui attirant des ennuis avec la justice. Matteo, le chef de famille, était avocat : un comble pour un homme qui a pour habitude de maltraiter sa femme, n'est-ce pas ? Mais c'était son mode de fonctionnement ; il avait du sang sur les mains depuis ses quinze ans, son aîné jouant un rôle important dans la mafia italienne. Et forcément, lorsque quelqu'un de votre entourage participe à de mauvaises actions, vous en faites plus ou moins partie à votre tour, fatalement. Par chance, on m'a retiré de ma famille à mes onze ans, je n'ai donc jamais été impliqué dans de sombres affaires. Mais nul doute que si j'y étais resté, je serais en train de tirer une balle dans la tête d'un mec qui m'aurait rendu de mauvaise humeur. D'ailleurs, mon père a toujours été très susceptible et j'ai hérité de ce défaut : je ne supporte pas que l'on se foute de ma gueule, que l'on soit ironique avec ma personne ou qu'on me plante en plein milieu d'une conversation ou de quelque chose qui me tient à cœur. Je ne supporte pas la lâcheté et, par dessus tout, les gens qui jouent les victimes et me décrivent comme un tyran. Oh, oui, je sais, je ne suis pas parfait: et alors, qui peut se vanter de l'être ? En fait, c'est simple, je n'aime pas que quelqu'un, qui dit haut et fort qu'il me connaît, me juge mal. Comme si, soudainement, il était possible que moi-même je ne me sois jamais réellement connu. Il y a des moments où il faut vraiment arrêter les blagues, surtout celles de mauvais goût. Revenons-en à monica. Coréenne et italienne, cette dernière travaillait dans un pressing non loin du domicile, en Sicile. Elle ne ramena un salaire médiocre que durant trois mois, le temps de m'avoir. Une fois que je fus là, Matteo ordonna qu'elle reste à la maison. Lorsqu'elle avait besoin de quelque chose, il suffisait qu'elle demande à notre majordome. Celui-ci se chargeait de faire les tâches à sa place : mon père ne voulait pas que son épouse se froisse un muscle et, encore moins, qu'elle laisse son fils unique sans surveillance. Et, hors de question, aussi, qu'elle me refile à une nourrice ; et, comme les personnes de confiance du géniteur n'étaient que des hommes, elle se retrouvait donc seule pour affronter cette terrible péripétie. Il faut dire que, à peine né, j'étais déjà chiant. Je gribouillais chaque meuble, hurlant que je n'y étais pour rien alors que le stylo, objet du crime, se trouvait encore dans ma main. Je cassais mes jouets, faisais des crises lorsque l'on me refusait quelque chose, et frappais les autres gamins. Qui vient de dire que l'influence de mon père était mauvaise ? Certes, j'ai toujours davantage aimé le paternel : parce qu'il me lisait des histoires, venait toujours me border, me câlinait. Monica, elle, était plus distante. Sans doute parce que j'étais la raison de ses problèmes. Mais, ce qu'elle n'a sûrement jamais pigé, c'est que c'est elle, et pas moi, qui s'était mariée avec mr lombardi. En tout cas, ce sont mes conclusions d'aujourd'hui ; à l'époque, j'étais encore trop naïf pour comprendre le pourquoi de la distance qu'elle laissait entre nous. Peut-être que je lui rappelais trop l'homme qu'elle tentait de fuir ? En même temps, je peux comprendre ce, possible, dégoût qu'elle avait à mon égard. Matteo n'hésitait pas à forcer les choses si elle ne voulait pas se donner une fois le soir venu. Elle était son épouse, son objet sexuel et sa cuisinière. Et ça, à 27 ans à peine, elle ne le savait que trop bien : elle ne pouvait pas s'échapper, il la retrouverait où qu'elle aille. Et malgré tout, elle ne se sentait pas si prisonnière que ça. Certes, il lui faisait du mal, mais elle ne pouvait s'empêcher de l'aimer : parce que malgré ce caractère de merde qui lui était propre, il savait aussi se montrer bienveillant, protecteur et courageux. C'est ce qui l'avait faite craquer, d'ailleurs, le jour de leur rencontre. Une jolie histoire, que je ne prendrai pas la peine de vous raconter ; parce que, ce qui est important, là, c'est la raison de ma fugue. Hélas, oui, un jour j'ai quitté le domicile parce que j'étouffais dans ce milieu bourré de confrontations. Rester avec eux était, malgré mon amour pour ces derniers, devenu un réel supplice : les entendre crier, les voir se frapper, non, très peu pour moi. Je venais tout juste d'avoir onze ans et on exposait déjà une violence sans limite à mes yeux de gamin. J'ouvrais donc la fenêtre de ma chambre, prenant la fuite. J'affrontais le vent frais, progressant vers le bord de mer bordé par une forêt ancienne. Quand je fus arrivé sur le sable mouillé, je me mis à lancer des pierres, faisant des ricochets pour me vider l'esprit : je saturais. Je n'en pouvais plus de toute cette pression sous mon toit qui, à la base, devait être mon havre de paix. Mais c'était plutôt l'enfer sur terre. Je venais donc assez souvent ici, au bord de l'eau, pour souffler. Chose que je n'aurais pas dû faire ce soir là, en revanche. Je ne sais pas si je regrette vraiment cette époque, ou non, ça reste assez flou dans ma tête. Mais, ce dont je me souviens, c'est de la transition. Tandis que je m'appliquais dans mes gestes, une bête colossale, dévoreuse de chairs, s'approcha silencieusement de moi ; à tel point que ce ne fut que lorsqu'elle attrapa mon bras entre ses crocs, au moment où je m'apprêtais à faire un nouveau lancer, que je me rendis compte de sa présence. Aucun cri ne sortit d'entre mes lèvres, pas même un cri de douleur. J'étais là, tétanisé, les yeux posés sur cet épais museau qui me faisait face. Je ne sais, d'ailleurs, toujours pas combien de minutes se sont écoulées entre l'attaque et ma prise de conscience mais je me souviens de mon père qui me prenait dans ses bras, m'entraînant loin de là en marmonnant « oh putain, nan, nan. Tiens bon l'fiston, papa t'emmène à l'hôpital. » je ne comprenais plus rien, refermant les yeux pour ne les ouvrir que trois semaines plus tard : mais je n'étais plus chez moi. Je me retrouvais dans une maison complètement inconnue, dans un pays qui n'était plus le mien. D'ailleurs, je ne pigeais même pas la discussion qui se déroulait devant moi : du russe. Si seulement j'avais pu me douter, un jour, que j'allais finir dans une famille de garous, au fin fond de nulle part ; je mis longtemps à accepter l'abandon dont j'étais victime. Mes parents ne pouvaient, voulaient, pas me garder : qu'allaient-ils faire d'un gamin susceptible de les découper en pièces une nuit de pleine lune ? C'était trop dangereux et, je n'ai absolument aucune rancune envers eux. La peur, la lâcheté, et? C'était ma faute si j'étais devenu un monstre, ils avaient donc le droit de me laisser. Et, dans un sens, je me plaisais à m'imaginer que leur vie devait être douloureuse sans moi. Mon paternel n'a jamais cessé de m'envoyer des lettres; et je l'en remercie grandement. Certes, ses conseils sont pourris et sexistes, mais il reste mon géniteur et, techniquement, le seul parent qui m'a vraiment aimé. Il ne pouvait juste plus m'assumer. Me retrouvant coincé avec une famille étrange, je mis bien deux semaines à m'adapter, restant enfermé dans le domicile lorsque le couple devait s'absenter la nuit. Mon dieu, ce que cette époque était stressante. Je ne comprenais toujours pas ce que j'allais inévitablement devenir : je contemplais ma morsure, tentant de faire des conclusions positives. Mais impossible. Cependant, cette famille devint rapidement la mienne et ses parents, bons, ne tardèrent pas à remplacer les miens. J'avais à présent l'amour d'un père, d'une mère, et de plusieurs frères. Pour moi qui, de base, était fils unique, ce fut un agréable changement. J'avais enfin un rôle, celui de l'aîné, du protecteur, du modèle. La première transformation fut extrêmement douloureuse ; à tel point que je me souviens encore de chaque tiraillement. Ma tête allait exploser, mes organes aussi, et c'est à peine si je pouvais encore me tenir sur mes jambes. Pour le reste, vide total. Aujourd'hui, j'ai 22 ans et j'assume complètement ma nature. Je suis une créature de la nuit, ouais, mais je me maîtrise. Du moins, je tente de toujours me ressaisir lorsque je sens que ça va déconner, et je m'en sors bien. Je montre l'exemple à suivre aux plus jeunes, et je protège leurs miches.
there's someone behind the mask;
pseudo; ash. âge; 19. poste vacant ? oui. double compte à signaler ? non. présence sur le forum; 20/24H, 7/7J. commentaires; je n'avais plus de patience ;o; comment as-tu connu DASY ? dox. code; validé by lenalee ♥ exemple rpg; 1500 mots ~
Spoiler:
Elle allait être en retard. De combien de temps ? Il n'en savait rien, elle n'avait pas précisé. Il allait donc devoir attendre, là, devant ce café, bêtement. Si il était nerveux ? Un peu. Après tout, il ne connaissait pas cette jeune femme : il l'avait rencontrée la veille, alors qu'il était sur la route du retour après une longue journée de travail au centre aéré. Croisant le regard de la brunette au feu rouge se trouvant à l'angle de sa rue, troublé, il s'était fait renverser. Rien de grave, non, encore heureux, mais il n'empêche qu'il s'était ramassé devant tout le monde et qu'il avait eu la peur de sa vie. Sa bécane avait glissé sur le sol à plus de trois mètres et, alors qu'il était à terre, la jeune inconnue s'était élancée vers lui sans même penser aux risques qu'elle prenait en traversant la rue. Par réflexe, seung lee avait repoussé cette dernière sur le trottoir afin de lui éviter un quelconque accident ; allant par la suite chercher sa pauvre moto échouée et rayée. Il n'était pas blessé : deux, trois égratignures seulement, rien de sérieux. Sa lèvre s'était ouverte, comme son arcade sourcilière, et ses mains étaient éraflées. Mais il n'était ni en deuil, ni en fauteuil roulant alors, sincèrement, il n'avait pas à se plaindre. Si il en voulait à la brunette de l'avoir perturbé dans sa conduite ? Pas tellement, non, c'était à lui d'être concentré sur la route, il ne pouvait donc pas mettre la faute sur elle. Elle l'avait juste regardé, longuement, attirant finalement son attention. Et il était tombé dans le piège, curieux, se laissant prendre à ce jeu de regards. « et merde. » murmura t-il, se passant une main sur le front. Qu'allait-il faire en l'attendant, là ? Le stress était déjà présent depuis dix bonnes minutes et ce dernier allait sûrement être entretenu pendant encore un petit bout de temps. Il faut dire qu'il était toujours en avance aux rendez-vous, question de respect ; alors il s'infligeait de l'attente d'office. Mais là, elle lui en rajoutait : n'avait-elle pas regardé sa montre ? C'est dingue comme le taux de filles retardataires pouvait flamber au fil des années. Se faisaient-elles passer le mot, histoire de se faire désirer ou une autre connerie du genre ? En général, il s'agissait aussi d'un simple moyen de vengeance. Mais cette possibilité était à bannir : il ne connaissait rien, pas même le moindre détail insignifiant, de cette dénommée leyna. Si ce n'était qu'elle était sûrement étrangère si l'on se fiait à son prénom ; simple déduction. Plongeant ses mains dans ses poches, le brun s'adossa au mur, balayant sa droite et sa gauche de ses prunelles noires : bon, allait-elle débarquer d'un instant à l'autre, au bout du chemin ? Et puis, à quoi ressemblait-elle déjà ? Plus il y réfléchissait, plus il essayait de revoir cette demoiselle dans son esprit, moins il s'en souvenait. Chaque trait devenait flou, le laissant perplexe : et si il n'arrivait pas à la reconnaître ? La honte. Et puis, elle risquerait d'être blessée. Elle avait pratiquement sacrifié sa vie pour lui offrir son aide, ne pas la reconnaître serait comme lui donner un coup de couteau. Bon, d'accord, cette image était peut-être un peu exagérée mais elle accueillerait sûrement très mal le fait qu'il l'ignore alors qu'elle passe juste à côté de lui. Faisant des efforts de concentration, seung lee plissa les yeux, détaillant les piétons. Elle ne semblait pas être présente. Peut-être allait-elle arriver dans une minute mais, là, il faisait un peu trop chaud pour qu'il reste dehors et il n'avait pas la moindre envie de répondre à son sms pour savoir où elle en était. Il faut dire que notre coréen n'était pas très friand des obligations et, écrire un texto était une chose qu'il faisait très rarement : il n'aimait pas ça, simplement, et préférait largement appeler pour prendre des nouvelles. Mais il patienterait sagement, assez intelligent pour savoir qu'il était dangereux d'essayer de la joindre alors qu'elle était au volant. Et puis, ça serait méchamment ironique qu'elle ait à son tour un accident par sa faute. Chose à éviter. Passant sa langue sur ses lèvres sèches et blessées, le brun pénétra dans le café, jetant un rapide coup d’œil à la salle entière avant de finalement aller s'asseoir à une table près de la fenêtre. De là, il pourrait la voir venir et elle ne mettrait pas longtemps à le repérer une fois dans ce lieu de convivialité. Il lui facilitait les choses. Cette position stratégique lui offrirait deux bonnes minutes de plus pour la reconnaître et lui éviterait, ainsi, d'avoir l'air distant lorsqu'elle s'adresserait à lui.
Parce que, malheureusement, le coréen était généralement froid, voire hautain, avec les gens qu'il ne connaissait pas : ce n'était pas méchant, bien sûr que non, et rien dans ses propos n'était blessant. Il s'agissait juste de son regard, sombre et parfois dur. Les gens concluaient rapidement qu'il était en colère lorsqu'il posait les yeux sur eux, sans aucune arrière-pensée. Vilain air de famille avec sa mère. La plupart des gens le prenaient de ce fait pour un fouteur de merde calculateur tandis que le reste craquait. Allez savoir, les humains restaient un entier mystère aux yeux de seung lee. Bon, et cette leyna ? Posant ses coudes sur la table, passant son index sur sa lèvre inférieure, le coréen s'interrogeait : est-ce que n'importe quelle personne aurait été aussi inconsciente que cette femme pour lui venir en aide ? Il ne comprenait pas trop. Est-ce que cela avait été un simple réflexe ? Un individu lambda aurait plutôt tendance à ouvrir grand la bouche et à crier qu'à se jeter sur lui pour le relever. Oh oui, il était perplexe. Cette situation était assez unique et, de ce fait, insaisissable. Mais voilà, il avait invité la sauveuse en question pour la remercier correctement : disons qu'il avait été un peu sec le jour j et qu'il désirait se rattraper. Il mettait sa froideur passée sur le compte du choc. C'était une bonne excuse et aussi, sûrement, une bonne raison. Inexplicable ; à la suite de l'accident, il lui était arrivé d'appeler leyna histoire de prendre des nouvelles. Ce n'était pas là une obligation : il voulait juste lui parler un peu, pour la rassurer sur son état et pour, par la même occasion, se lier d'amitié avec elle. Comment pouvait-il passer à côté d'une fille qui n'avait pas eu la moindre hésitation à traverser la rue bondée de voitures pour venir lui prêter main forte ? Cela serait se comporter comme un goujat, un mec dénué de principes. Il n'était pas quelqu'un de ce genre. Croisant le regard de la serveuse, il lui fit un léger signe négatif de la tête : ce n'était pas la peine qu'elle lui serve quelque chose maintenant, il allait poliment attendre que la demoiselle arrive. Et, en parlant du loup, le voilà qui se pointait : leyna, il l'avait reconnue, finalement. Jean et chemise bleue, l'air pressée. Elle entra à son tour dans le café après s'être faite interpellée par une vieille femme, venant derechef s'asseoir en face de lui, souriante. « ça m'arrive toujours. pardon, je n'ai pas d'excuses... j'espère que tu n'as pas attendu trop longtemps, autrement, ça sera à mon tour de me faire pardonner. » elle s'excusait, c'était mignon ; toutes les filles ne prenaient pas la peine de le faire, jugeant qu'elles avaient absolument tous les droits sur cette terre, même de faire patienter un gentleman. Accueillant, seung lee lui rendit un large sourire avant de répondre d'une voix calme : « ne t'en fais pas pour ça, je suis là depuis cinq minutes. il y avait pas mal de bouchons. » menteur, oui, si l'on pouvait réellement appeler ça un mensonge. Il n'allait tout de même pas lui balancer au visage qu'il patientait depuis une trentaine de minutes ? Elle se sentirait davantage coupable pour un truc qui, en réalité, n'avait aucune importance. Disons juste qu'il ne se gênait pas pour modifier la réalité du moment que cela n'avait pas de graves conséquences. Et du moment que la confiance n'était pas remise en cause, bien entendu. Jamais il ne mentirait sur quelque chose d'important, non, jamais. Il en était juste incapable, de toutes façons. « je précise toute de suite que c'est moi qui invite, bien sûr. » ajouta t-il, arborant toujours son chaleureux sourire. Le brun enleva ensuite ses coudes de la table, se levant, gardant ses yeux posés sur le visage de la belle qui, elle, persistait à éviter son regard. « je vais me chercher un thé. qu'est-ce que tu prends ? » sa voix se fit plus douce tandis qu'il penchait légèrement la tête sur le côté, espérant enfin croiser les prunelles fuyantes de leyna. Qu'avait-elle ? La mettait-il mal à l'aise ?
Dernière édition par Baek Duccio le Sam 25 Juin - 19:13, édité 4 fois
Baek Maddox
the nasty beast admin.
pseudo : lenalee avatar : lee chang seon {mblaq} messages : 292 double compte : han taeyeon & kim suhyeon i'm here since : 12/06/2011âge : 34 my heart is : women wanna fuck like they're me. patronus : un doberman animal de compagnie : un doberman ; lexwizard's spellbook : uc.
Sujet: Re: if you're ready for this fling then meet me at the back. Sam 25 Juin - 18:34
mon frèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèèère (l) bienvenue alors et bonne continuat-. ah ben non c'est bientôt fini tout ça. tsss ♥
Lee Kessy
the bad kitty cat admin.
pseudo : mee; avatar : kwon ji yong. messages : 243 double compte : baek lloyd. i'm here since : 12/06/2011âge : 33 my heart is : dead and gone. patronus : un chat; évidemment. animal de compagnie : serpent. un black racer du nom de dopey, dope donc, mais il est féroce... avec les hommes. wizard's spellbook : uc.
Sujet: Re: if you're ready for this fling then meet me at the back. Sam 25 Juin - 18:34
aaaash. èwé bien dis-donc, ça sent le préparé d'avance cette fiche... héhé. bienvenue donc, &fight, pour ce qu'il te reste à faire.
Cho Jin Jung
the sneaky gnawing admin.
pseudo : Jin~ avatar : Henry Lau (suju M) messages : 81 double compte : An So Yung et Yun Ivory i'm here since : 12/06/2011âge : 29 my heart is : perturbed patronus : something really doesn't work here...where's my fucking lama? animal de compagnie : Mochi, un hamster nain, et Silver, un renard des neiges~
Sujet: Re: if you're ready for this fling then meet me at the back. Sam 25 Juin - 18:40
aaaash ♥ même pas le temps de te dire bonne chance pour ta fiche xD
Yang Skyler
the monkey freak admin.
pseudo : naoki avatar : ok taek yeon messages : 152 i'm here since : 12/06/2011my heart is : only mine
Sujet: Re: if you're ready for this fling then meet me at the back. Sam 25 Juin - 18:44
bienvenue ♥
Baek Duccio
the beast of the full moons.
pseudo : ash. avatar : yoon du jun. (beast) messages : 123 double compte : song angela & reaver allan. i'm here since : 25/06/2011âge : 34 my heart is : cerco di notte in ogni stella un tuo riflesso ùa tutto questo a me non basta adesso cresco. patronus : ta mère ? je suis certain qu'on viendrait pas me faire chier si c'était vraiment le cas. je vais y réfléchir. animal de compagnie : chauve-souris du nom de cranberry.wizard's spellbook :
qui l'inverno non ha paura, io senza di te un po' ne ho. qui la rabbia è senza misura, io senza di te, non lo so. e la notte balla da sola, senza di te non ballerò. capitano abbatti le mura... che da solo non ce la farò.
j'ai une putain d'envie de retourner en italie et d'y pourrir, tiens.
Sujet: Re: if you're ready for this fling then meet me at the back. Sam 25 Juin - 19:12
merci à tous. ♥ fiche finie il me semble 'o'
Jack the Bat
pseudo : jack avatar : moi-même enfin èwé messages : 222 double compte : jamais ! i'm here since : 12/06/2011my heart is : douloureuse petite histoire. animal de compagnie : tututuh. je me suffis voyons.
Sujet: Re: if you're ready for this fling then meet me at the back. Sam 25 Juin - 19:16
GIENA
« La bouteille de vodka enchantée que tu viens de faire tourner sur le sol s’est arrêté sur la couleur rouge. Tu peux constater qu’une fumée carmin sort du goulot et te laisse apercevoir une sorte de hyène en mouvement. Bravo, tu as réussi ta répartition. Si cela n’avait pas été le cas, aucune fumée ne serait apparue et tu aurais dû recommencer une nouvelle fois. Bienvenue chez les giena ! Dans cette maison se trouvent les élèves les plus rusés de l'école. Malheureusement, ils sont souvent perçus comme les mauvais éléments de l'école et suscitent la crainte tout comme l'admiration. Mais comme partout, il y a des exceptions, n'est ce pas ? Quoi qu'il en soit votre animal d'emblème – et vous l'aurez compris – est la hyène et votre couleur officielle est le rouge. Ah ! J'allais oublier, voici ton horaire w02 pour toute l'année, garde-le précieusement. »
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