i'd like to think that i can go my own way and meet you in the end.



 
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 i'd like to think that i can go my own way and meet you in the end.

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MessageSujet: i'd like to think that i can go my own way and meet you in the end.   i'd like to think that i can go my own way and meet you in the end. Icon_minitimeVen 29 Juil - 17:58

duccio&noah.
so why does there only have to be one correct philosophy? I don't want to go and follow you just to end up like one of them. and why are you always telling me what you want me to believe? I'd like to think that I can go my own way and meet you in the end.
go on my own way and meet you in the end.


Cela faisait déjà un petit moment qu'il les observait de loin, caché derrière la paroi de sa petite grotte. Avec une curiosité mal-placée, il s'était figé malgré lui dès qu'il avait entendu des bruits de pas en sa direction, et son merveilleux courage l'avait poussé à se réfugier dans la grotte avant de finalement se rendre compte que celui qui l'avait effrayé n'était personne d'autre que Duccio. Un italien qu'il ne connaissait que trop bien et, surtout, un loup d'exception qu'il avait, malgré lui, pris pour modèle. Lui vouant une admiration sans borne sans même savoir pourquoi de tels sentiments surgissaient dès qu'il passait à proximité. Dire qu'ils se connaissaient était probablement un bien grand mot pour définir leur relation. Noah n'était qu'une petite fille à côté de lui, une petite fille qui n'avait de cesse d'avoir son prénom à la bouche à défaut d'avoir autre chose, une petite fille hystérique qui se sentait défaillir dès qu'elle le voyait, une simple et ridicule petite fille qui se contentait de l'observer de loin, préférant couper court à leurs trop grandes conversation de peur que sa langue ne fourche. Sa maladresse n'avait d'égal que sa stupidité et sa niaiserie, mais il avait parfaitement conscience que s'il s'étendait trop avec lui, il finirait par dire une stupidité ou en faire une qui aurait pour seul résultat d'éloigner définitivement le jeune homme. Voire pire, le giena ne devait pas avoir beaucoup d'estime pour le petit vert, il ne manquerait plus qu'il la perde complètement et tout serait vraiment gâché … Dans l'ombre, toujours appuyé contre la petite paroi glaciale de cette étrange grotte, il s'apprêta à s'approcher de lui afin d'aller le saluer quand une voix féminine appela son prénom – Duccio, évidemment, qui voudrait bien appeler Noah, de toutes façons ? – Tournant son regard vers la provenance de cette voix, celui-ci se rendit désagréablement compte qu'une jeune et jolie demoiselle s'approchait de son loup favoris. Et, non, ce n'était pas n'importe quelle pimbêche, loin de là, c'était SA pimbêche. Le japonais plissa les yeux alors qu'il se rendait compte de ce qu'il venait de penser. Venir à traiter Mi Na de pimbêche montrait bien à quel point il ne faisait pas preuve d'impartialité dans cette affaire-là. Il l'appréciait beaucoup, cette petite, elle était gentille, adorable, mignonne … parfaite … c'était ça, le problème. Elle était TROP parfaite. Et un parfait avec une parfaite, ça donnait trop de perfection pour que Noah puisse accepter cela sans grande peine. Il ne savait même pas pourquoi il n'acceptait pas ce couple, non, il n'en savait rien, vous savez. Hase Noah n'était pas jaloux, non, cela jamais. Pourquoi le serait-il, hein ? Aurait-il de quoi l'être ? Non, non. Jamais. Il déglutit en les voyant échanger quelques paroles. Comment pouvait-il être jaloux de ça ? Ce n'était pas comme si elle était magnifiquement belle et qu'elle regorgeait de qualités toutes plus enviables les unes que les autres … Non … Il soupira. Le seul point positif qu'il avait trouvé à ce couple, au final, restait toujours et encore le fait que la jeune et jolie humaine n'était ni plus ni moins une belka. Tout comme lui. Cela lui laissait encore un peu de chances de se faire bien valoir aux yeux de l'italien, non ? Non. Ses yeux se posèrent une nouvelle fois sur lui, mais cette fois-ci il n'eut pas le temps de pester contre sa petite-amie qu'il se rendit bel et bien compte qu'ils partageaient un long et langoureux baiser. Quelques mètres plus loin de lui. Juste sous ses yeux. Le petit vert écarquilla de grands yeux sans qu'il ne puisse contrôler quoi que ce soit, ressentant un fort pincement au niveau de sa poitrine, il se surprit à en avoir la respiration coupée l'espace de quelques secondes. Ouvrant la bouche et baissant son regard vers le sol tandis qu'une main agrippait son tee-shirt du côté gauche, il se mit à respirer bruyamment. Inspirant et expirant avec grand peine avant de brutalement se coller à la paroi de la grotte, fermant les yeux. Il le savait, non ? À quoi s'attendait-il ? Qu'est-ce qui lui arrivait ? Pourquoi cette réaction exagérée pour si peu ? Ce n'était pas tellement la première fois qu'il les avait vu s'embrasser. Certes, les autres fois, il avait été avec d'autres amis à lui et beaucoup plus loin qu'actuellement. Et puis, de toutes façons, ils avaient probablement dû aller beaucoup plus loin qu'un simple baiser. Il valait mieux qu'il tombe sur ce genre là plutôt qu'en plein milieu de – ouais, bon. Noah entrouvrit de nouveau un œil, tournant sa tête en leur direction une nouvelle fois. C'est qu'ils le faisaient durer ce foutu baiser, oui. Ou bien alors le temps passait trop lentement pour lui, il ne saurait dire. N'empêche … Il aimerait bien savoir ce que ça faisait, lui aussi. Lui qui n'avait jamais embrassé réellement quelqu'un jusqu'ici et qui avait toujours fui les demandes ou les relations amoureuses trop sérieuses. Il adorerait savoir ce que cela fait de sentir ses lèvres contre les siennes, ce que cela fait de pouvoir laisser glisser sa langue contre la sienne en suivant son rythme … pouvoir coller son corps contre le sien et poser l'une de ses mains contre sa peau ou dans ses cheveux … Il tressaillit alors rien qu'à y songer, sentant un long frisson lui brûler sa colonne vertébrale. Il ouvrit complètement les yeux, paniqué, et secoua la tête de droite à gauche en un mouvement de refus. Non, non. Il ne devait pas penser à cela … Et puis zut. Ce n'était qu'un simple baiser, après tout, les choses étaient encore bien pire s'il s'imaginait faire autre chose avec lui, non ? Comme … Comme … Il secoua la tête une nouvelle fois. Stop. Ça suffit. Pourquoi était-il assez crétin pour s'imaginer le déshabiller dans ces conditions alors qu'il restait un homme et qu'il était un couple avec une femme ? Pauvre con. Ses yeux se refermèrent davantage au fur et à mesure que les pensées s'offraient à lui. Son corps nu sur le sien qui s'efforçait de faire ce qu'il voulait qu'il lui fasse, et tout ça … tout … l'excitait horriblement si bien qu'un discret et bref gémissement vint s'échapper de ses lèvres. Et c'est là qu'il comprit, à ce moment précis, qu'il délirait complètement. Ouvrant brutalement les yeux de nouveau, il haleta, seul dans sa cave, baissant les yeux vers sa zone sud qui avait un peu trop réagi à ses fantasmes. Mais pourquoi, dieu, pourquoi avait-il dérapé à ce point sur un mec qui, certes, était admirable mais … justement admirable et rien de plus !? Les joues rosies, il se tapa la tête contre la cavité de la cave deux secondes avant de poser ses mains sur sa partie intime, baissant les yeux et se décidant à quitter les lieux le plus rapidement possible afin d'aller son conscient et son subconscient dans un de ces gros livres immondes et assommant qui devaient faire plus de dix milles pages. Secouant de nouveau la tête, il garda ses yeux résolument fixés sur ses pieds, et commença à partir d'un pas hâtif vers la foret, souhaitant se diriger vers l'établissement qu'il avait intégré depuis déjà si longtemps. À peine avait-il fais quelque pas qu'il se heurta à quelque chose, ou plutôt quelqu'un. Et le hasard, qui faisait si bien les choses, fit qu'il tomba nez à nez avec l'objet de ses récents fantasmes. Ou en d'autres termes : Duccio en personne. Ses joues rougirent violemment davantage et il se recula de quelques pas, levant les mains en l'air. « I swear I'm innocent. » Pourquoi parler anglais ? … Panique. Ses bras restèrent en l'air quelques secondes et, rebaissant ses yeux vers son entrejambe, il lâcha un gémissement de panique avant de venir s'accroupir en boule devant lui. « Pardon. Pardon, pardon, pardon … » Le pauvre italien ne devait comprendre rien à rien.
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Baek Duccio
Baek Duccio
the beast of the full moons.

pseudo : ash.
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my heart is : cerco di notte in ogni stella un tuo riflesso ùa tutto questo a me non basta adesso cresco.
patronus : ta mère ? je suis certain qu'on viendrait pas me faire chier si c'était vraiment le cas. je vais y réfléchir.
animal de compagnie : chauve-souris du nom de cranberry.
wizard's spellbook :

qui l'inverno non ha paura, io senza di te un po' ne ho. qui la rabbia è senza misura, io senza di te, non lo so. e la notte balla da sola, senza di te non ballerò. capitano abbatti le mura... che da solo non ce la farò.

j'ai une putain d'envie de retourner en italie et d'y pourrir, tiens.


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MessageSujet: Re: i'd like to think that i can go my own way and meet you in the end.   i'd like to think that i can go my own way and meet you in the end. Icon_minitimeLun 8 Aoû - 11:52

[ t'as le droit de me frapper pour le retard, c'est dur la reprise. surtout quand t'attends 15 ans. t'as le droit de faire de moi ton esclave sexuel, aussi. (: ]

« i swear i'm innocent. »
duccio arqua un sourcil, mains dans les poches. C'était quoi le souci ? Perplexe, un soupir d'amusement s'échappa tout de même de ses lèvres, témoin de la folie du plus jeune. C'est vrai que ce mec était bizarre, dans le fond. Et puis, pourquoi il lui parlait en anglais ? L'avait-il pris pour un bilingue ? Sale british. « pardon. pardon, pardon, pardon … » baissant ses prunelles vers l'entre-jambe de noah, le rital capta enfin ce qu'il se passait. Le belka avait une érection. Pour quelle raison ? C'était une bonne question. Après tout, il n'y avait personne dans les environs et il semblait seul. Peut-être avait-il l'imagination fertile et qu'il s'était imaginé en compagnie d'une bonasse ? Plutôt spécial de faire ça dans un endroit pareil, mais pourquoi pas. Malgré cette touche lugubre, c'était peut-être moins malsain que de s'en tenir à une piaule commune. Oh et puis, il faisait ça où il voulait, non ? Il n'y avait aucune règle. Curieux, duccio jeta quand même un regard aux alentours, vérifiant qu'ils étaient seuls. « merde, tu m'expliques pourquoi tu bandes ? Y a rien d'excitant ici. » lança la hyène, taquine. Dans le fond, il espérait que noah lui explique tout. Par curiosité, juste, oui. Cela l'intriguait. Se passant une main sur la nuque, la massant, le rouge s'humecta les lèvres, les yeux toujours rivés un peu plus bas, sur les mains de son cadet. « tu comptais te branler dans ta grotte ou quoi ? » un rire s'échappa alors de sa bouche. Cruel ? Non, chercheur, surtout. Il aimait bien embêter son entourage, surtout les gens qu'il aimait bien. Si ce n'était pas le cas, il se contentait d'ignorer, de passer son chemin. Mais voilà, il appréciait le petit noah : ce mec était spécial. Il ressemblait tellement à une femme, en fait. Mais ce n'était pas un gay, une folle furieuse excentrique. Non, il était certes mystérieux, étrange, mais pas effrayant. À vrai dire, duccio ne connaissait pas grand chose sur le compte de ce mec : il le savait juste très respectueux envers sa personne et, ça, il appréciait. Et c'était suffisant pour qu'il le tolère, mieux, pour qu'il le compte parmi ses amis. Bon, d'accord, c'était peut-être parler un peu trop vite. Le cercle de potes de l'italien était très fermé mais, ce qui était certain, c'est que si le petit continuait sur cette voie, il finirait par y avoir sa place. Entrant dans la grotte, son épaule frôlant celle de son camarade au passage, le brun énonça la raison de sa présence ici. C'est vrai qu'il était suspect, lui aussi, à se pointer dans un endroit aussi isolé et dépourvu de la moindre occupation intéressante. « j'viens cueillir des saloperies de champignons. Moi, s'il-te-plaît, ils ont cru que j'étais jardinier, bande de cons. » se plaignit-il, progressant dans la grotte, son regard détaillant chaque pierre moisie par l'humidité. C'est vrai ça ; quelle idée de demander à duccio d'aller faire la récolte de ces pourritures. Il en connaissait certes un rayon dessus, passant une large partie de son temps dans les bois en compagnie de ces dernières qui pullulaient un peu partout. Mais il n'était pas non plus expert et appréciait davantage manger du poivre que de jouer le jardinier au service des enseignants. Bon, non, quand même pas. Cette foutue épice était quand même la pire chose au monde qu'il lui était arrivé de goûter. Relever les plats, quelle connerie ! Le sel était largement suffisant pour ça. Il y avait juste un mec sur cette terre qui avait désiré pourrir la vie de notre italien en faisant remarquer qu'un truc aussi écœurant existait. Une pointe de poivre sur tous les plats de la semaine et duccio jeûnait. Une pointe de poivre dans toutes les assiettes lui étant destinées le long de sa scolarité et il décédait avant la fin du semestre.

C'était aussi efficace qu'un endoloris ou un avada kedavra. Oh, bien sûr, il trouverait bien deux ou trois petites bestioles à se mettre sous la dent, étant fin chasseur. Mais il n'était pas un fervent admirateur de chair fraîche et de torture. Oui, parce que courir après une créature, la voir paniquer, pour finalement refermer ses crocs sur son cou et la grignoter vivante ce n'était vraiment pas son truc. Maîtrisant bien trop sa transformation, il conservait sa conscience : il était humain. Et un humain ne faisait pas ça. Il, certes, tuait le lapin, par exemple, mais pas avec les dents. Puis, ensuite, il le préparait ; plus de poils, de tête, d'organes. Il le rendait presque méconnaissable. Mais là, vous vous imaginez, vous, en train de manger un rongeur, dévorant ses intestins et sa fourrure ? Non ? Bah le rital non plus, même au bord de l'agonie. Il n'était pas un barbare. Mais après, il est vrai qu'il n'avait jamais été victime de la famine : peut-être qu'il se transformerait et tuerait des élèves pour apaiser son ventre. On voit ça dans la plupart des films dans lesquels les gens sont isolés et n'ont plus rien à se mettre sous la dent : le corps devient alors possesseur de l'âme, et non plus l'inverse. Il décide. Et si il estime que c'en est assez, il peut vous faire tuer n'importe qui, même votre propre mère. Bon, d'accord, duccio n'avait pas la moindre idée de ce en quoi il muterait si il se retrouvait avec l'estomac dans les talons. « oh. » souffla t-il alors, se penchant vers ce qui lui semblait être l'objet de sa recherche. Un champignon, majestueux, noir, rabougri. Une trompette de la mort. Une connerie, bien laide, que les cuisiniers voulaient mettre dans les soupes du lendemain soir. À leur guise, mais lui il n'y toucherait pas. ¾ des élèves ne connaissaient pas la tête de ce qu'ils mangeaient mais, là, le brun avait cette horreur devant les yeux : et si il n'avait pas su que c'était comestible, nul doute qu'il aurait rasé les murs de pierre déformés de la grotte pour ne pas être en contact avec le poison. Mais bon, ce champignon n'était pas un danger, pas du tout, et on devait sa présence au sol argileux de l'endroit. Attrapant la trompette entre ses doigts, tirant dessus, la hyène reprit la parole. « noah, je te fais goûter ma grosse trompette ? Je sais que t'as envie de la sentir dans ta bouche. Puis, paraît qu'elle est bonne. » observant l'objet de ses pensées, qui n'étaient sans doute pas les mêmes que celles de son camarade, le brun se retourna enfin, le lui tendant. Est-ce que le belka s'était imaginé qu'il parlait d'autre chose ? Comme de sa verge, par exemple ? C'était fait exprès, le jeu de mots était là pour ça, pour le désarçonner. Mais bon, théoriquement, c'était simplement censé faire rire le vert, rien de plus. Si seulement il connaissait les obsessions de son pote, il se serait abstenu de faire de telles remarques. « bon, bien sûr, je déconne. Si tu bouffes ça comme ça, là, nature, je suis pas certain que tu trouves ça bon. Mais remarque, ça pourrait sûrement te faire débander. » compléta t-il, penchant la tête sur le côté, un sourire amusé se dessinant à nouveau sur ses lèvres. Oh, oui, il était fier de lui. Taquiner noah était une chose qu'il aimait bien faire et cela avait le don de souvent marcher : le belka sautait à pieds joints dans ses pièges.
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MessageSujet: Re: i'd like to think that i can go my own way and meet you in the end.   i'd like to think that i can go my own way and meet you in the end. Icon_minitimeMer 17 Aoû - 6:22

« tu comptais te branler dans ta grotte ou quoi ? » Il lâcha un petit couinement aiguë, ses joues virant plus rouges encore que l'uniforme du giena. C'était quoi leur problèmes à ses hormones ? Pourquoi avaient-elles fallu qu'elles lui pourrissent la vie juste le jour où il y avait Duccio dans les parages ? On ne pouvait pas dire qu'il le voyait souvent, ce bougre de loup, mais il avait su apprécier les rares fois en évitant les débordements affectifs comme lui seul savait le faire. Il ne savait que très bien comment il se ferait magistralement repousser. Puis c'était normal après tout, non ? Qui voudrait se faire enlacer par un homme – et encore – de vingt et un ans dont l'âge mental n'excédait guère les huit ans et qui, de surcroît, était légèrement étranger à vos yeux ? Personne, non, non, personne. Pourquoi Noah avait-il accroché si vite à Duccio ? La question trottait encore dans sa petite tête brune, la seule réponse qu'il avait réussi à trouver était probablement le fait qu'il représentait un peu tout ce que son père lui avait dis de profondément respecter. Le mâle alpha et dominant, tout ça, là. Habitué à être soumis à son dominant et provocateur de père, c'est presque avec un naturel qu'il avait décidé que ce type-là serait son modèle. Un italien-giena. Ouais. Pourquoi pas. Le japonais garda un parfait silence quand à sa précédente question, ne sachant que trop bien comment sa réaction serait. Bégayer ? Bafouiller ? De quoi le griller, quoi. De toutes façons, son interlocuteur ne s'arrêterait pas sur ce petit détail amusant – du moins c'était ce qu'il espérait. Le mettre dans l'embarras était une chose. L'y enfoncer profondément jusqu'à ce qu'il crache le morceau et s'enfuit profondément en était une autre. Et il pensait très justement que son ami ne le mettrait pas si mal à l'aise … Ou presque. Rapidement, il porta sa main à son épaule, la sentant en suivant juste ses réflexes de chien. Gardant les yeux grands ouverts, il huma sa propre épaule qui, merde, puait la transpiration fallait dire. Il grimaça, plissa les yeux, espérant de tout son cœur que l'italien n'y verrait que du feu – mais il ne fallait pas se nourrir de faux espoirs, même s'il était actuellement sous sa forme humaine, il restait un chien malgré tout. Et un chien. Ça avait du flair. Quelle idée stupide que celle de se mettre à fantasmer dans une grotte pareille avec la personne en question à côté. Noah se retourna en posant ses yeux sur la nuque du jeune loup, le regard impassible, écoutant simplement ce qu'il avait à dire. « ils ont cru que j'étais jardinier, bande de cons. » Ne pouvant empêcher un léger sourire étirer ses lèvres, le semi-anglais se mit à rire à voix haute. C'était vrai que l'idée de voir Duccio avec un chapeau de paille sur la tronche et des habits de paysans en train de faire la cueillette était quelque chose de très amusant, voire simplement improbable. Si on le lui avait dis, il n'y aurait pas cru. Mais la preuve était qu'il était effectivement en train de le faire. Avec l'accoutrement ridicule en moins et sa classe naturelle en plus, ma foi, c'était toujours ça. « j'vais t'aider ! » lança-t-il gaiement, trottinant à la suite de son compagnon. « j'ai rien à faire, de toutes façons, et si ça t'est si insupportable que ça, je pense qu'une paire de bras en plus pourront toujours être d'un secours. » continua-t-il, levant ses deux bras en l'air et les écartant avant de contracter ses muscles comme pour montrer le peu de masse musculaire qu'il possédait. « même si le secours sera plus inutile qu'autre chose. Plus il y a de fous, plus il y a de riz, hein ! » marchant d'un pas plus rapide en parvenant enfin à la hauteur du plus vieux, il haussa les épaules, lui jetant un regard en coin d'un air désolé. « ma mère me disait toujours ça, mais moi j'étais plus pour l'option: plus il y a de fous, moins il y a de vie. » Petite intervention inutile, tout comme le reste de son petit monologue, après tout. Le but ? Passer devant lui en sautillant, adoptant une démarche plus féminine que les filles elles-même afin de pouvoir mettre ses deux mains ailleurs que sur son entrejambe qu'il tentait vainement d'oublier en plaçant des âneries de part et d'autre comme pour attirer son attention ailleurs. Eh oui, on faisait comme on pouvait quand on s'appelait Hase Noah.

Prenant le commandement du peloton en direction de … nulle part si ce n'était à la recherche de champignon, le jeune garçon ne prêta nullement attention à ceux-ci, traçant droit son chemin en sautillant, se mettant à chanter la cha nson des schtroumpfs sans raison – nombreuses étaient les personnes qui s'étaient demandées pourquoi Noah était un belka plutôt qu'un kaban vu son intelligence et son QI pas beaucoup plus évolué que ses fonceurs et stupides sangliers jaunes. Sans déconner. Un sanglier jaune ? Le type qui avait créé les maisons russes devait être un pur dégénéré et devait avoir fumé quelque chose. Ou alors c'était un illuminé de la vie. « Tenez les gars, j'ai une idée. Heu. Pour la maison la plus stupide et irréfléchie de l'école on va leur coller la couleur jaune parce que c'est joyeux et tout, et pis comme animal ? Quelque chose qui va avec le jaune ? … Ouais, aller. Sanglier c'est cool non ? En plus c'est vachement classe et sexy. Et pis comme nous sommes des russes, on va ensorceler une petite bouteille de vodka qui les guidera jusqu'à leur maison. » … non ? …

Ne perdant pas le nord pour autant, le petit écureuil vert ouvrit de grands yeux, venant d'effectuer quelques mètres sans avoir prêté la moindre attention à un quelconque champignon, il se dit qu'il serait peut-être temps qu'il s'y mette. Ou qu'il fasse semblant, au moins. S'occupant de la paroi droite, il scruta le sol en plissant les yeux, le plus sérieux au monde. Mais comment allait-il bien foutrement pouvoir s'en sortir ? Il ne savait même pas lesquels étaient venimeux et lesquels ne l'étaient pas. « oh. » Il tira la langue. Zut, il venait de se faire doubler par celui à qui il avait proposé un coup de main. S'il tenait au fait d'être le premier à trouver un champignon ? Bah oui, un peu, en fait. Il voulait juste vraiment aider le jeune homme et voilà qu'il n'était même pas capable de trouver un truc tout moche et tout petit, même avec sa vue bionique de loup-garou. Il tourna donc la tête vers la hyène, son regard glissant inévitablement sur son cou, longeant ses épaules avant de finir sur ses bras et surtout sur ses mains qui empoignaient le petit truc. La bouche de nouveau entrouverte, il tenta vainement de reprendre le pas sur ses yeux qui n'en faisaient qu'à leur tête, mais rien à faire. Ils continuaient de glisser, glisser, s'attardant sur les moindres détails. Pourquoi était-il si beau et, dieu, pourquoi étais-tu en train de perdre la boule, Noah ? Il secoua la tête, s'humectant les lèvres, quand il prononça la phrase qu'il ne fallait pas. Le jeune écureuil vert écarquilla des yeux si grands qu'ils auraient bien pu tomber de leur orbite, son cœur s'arrêtant subitement de battre alors que sa respiration se coupait. Trompette-keuwa ? Noah cilla, battant des paupières si rapidement que sa vue s'embruma, n'y voyant plus rien. Il secoua la tête, regardant Duccio, s'apprêtant à lui lancer un t'es sûr ? je. peux? quand il suivit le regard de celui-ci qui ne se dirigeait nulle part autre que sur le … « champignon ! » S'exclama-t-il en hurlant presque, faisant résonner sa voix dans les moindres recoins de la grotte. C'était évident qu'il parlait d'un champignon, non ? Bah non. Ses joues, teintées de roses, stoppèrent la progression de la couleur sur sa peau. « mais remarque, ça pourrait sûrement te faire débander. » « j'arriiiiiiiiive. » S'approchant en courant de son interlocuteur, il se rua sur leur seule trouvaille commune du moment, avant de la lui arracher presque des doigts et l'engloutissant dans sa bouche d'une traite – manquant de s'étouffer au passage. Ne prenant pas gare à la réaction de l'italien, le garçon baissa aussitôt les yeux vers sa partie intime, fronçant les sourcils et la mitraillant du regard comme si cela allait pouvoir aider à quelque chose. « en plus de pas être grosse, elle me fait chieeeeeer. » chouina-t-il alors qu'il ne constatait aucun effets de la part du champignon-magique qui ne semblait pas du tout autant magique qu'il l'aurait espéré. Si les hommes avaient pour coutume d'exagérer la taille de leur sexe, Noah avait plutôt tendance à faire l'inverse, se cassant littéralement lui-même. C'était une drôle de technique. Au moins personne ne s'attendait à quoi que ce soit de majestueux … erf. C'était une stupide technique plutôt, disons. Pis c'était même pas une technique, c'était juste la preuve de son profond QI. Après quelques secondes de non-réaction – ou disons de réaction continuelle depuis le début – le jeune garçon releva les yeux vers son compagnon, affichant une mine abattue. « tu m'as eu … » Il fit démesurément trembler ses lèvres pour simuler un sentiment de tristesse avant de lui donner une petite tape sur l'épaule qui n'avait guère plus de force que celle d'une minuscule et ridicule fourmis. « j't'aurais aussi, nah ! Ma vengeance sera terrible et sera a déguster froide SANS champignon. » fier de sa petite blague, il tordit sa bouche en une petite moue, posant ses mains droits sur ses petites hanches. Noah était un gamin, c'était un fait indéniable, et même s'il avait peur de paraître ridicule aux yeux de la jeune hyène, il fallait surtout qu'il se divertisse lui-même. Penser à autre chose lui fera certainement oublier son petit soucis technique, non ? Si, aller, disons. « j'ai faaaaaaaaaaim. » se plaignit-il. « en plus j'veux pas dire mais ton truc était pas bon. Ma maman me faisait des cèpes, avant. Et ça, c'est bon ! J'pourrais vendre mon père contre des trucs pareils. » lui tournant le dos, il posa sa main sur ses sinus, plissant le regard et scrutant le sol à la recherche de cèpes avant qu'il ne réalise que … il ne savait vraiment pas à quoi ça ressemblait. Se tournant de nouveau, il accourra vers l'italien, posant ses mains à plat sur son torse avant de lui faire les yeux doux. « tu m'en trouves, diiiiiiiis ? J'suis sûr que t'aimes aussi, t'façons. C'est tellement trop bon. » acheva-t-il en fermant les yeux, mordillant sa petite lèvre inférieure. Passant du fantasme duccio au fantasme manger à la belle étoile un plat de cèpes avec duccio, aish.
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j'ai une putain d'envie de retourner en italie et d'y pourrir, tiens.


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MessageSujet: Re: i'd like to think that i can go my own way and meet you in the end.   i'd like to think that i can go my own way and meet you in the end. Icon_minitimeJeu 18 Aoû - 19:36

Et il parlait, parlait et parlait. Oh oui, il en disait des choses notre écureuil. Si seulement ses dires avaient été intéressants. Jeux de mots pas drôles sur réactions dignes de morveux de quatre ans. Sa compagnie était agréable, il était clair que même le mec le plus invisible sur terre se serait senti bien à ses côtés mais -parce qu'il y a toujours un mais- cette théorie était tout à fait discutable. Noah était si profondément encré dans son monde qu'il était dur de l'en sortir. Et d'avantage d'y pénétrer. Vous qui avez galéré de longues années pour devenir mature et réfléchi, plongez donc dans le corps d'un mioche de cinq ans et courez dans une grotte en chantant. Duccio avait déjà passé cette étape-là de sa vie, pire, il ne l'avait jamais croisée. À l'aube de ses sept ans, monsieur l'aîné baek était déjà davantage sage que la moyenne : assistant aux crises du couple qu'était celui de ses parents, il se montrait calme, intelligent, n'intervenant que quand les choses dégénéraient réellement. Autrement dit, quand son père levait la main sur sa mère, monica. Vif, il n'hésitait pas à s'interposer entre les deux quitte à se prendre les coups à la place de sa génitrice qui, étrangement, ne l'en remerciait pas. Voire pire, qui ne le protégeait pas. L’instinct maternel ? C'était à croire qu'elle n'en connaissait nullement la définition voir carrément l'existence. Quelle femme accepterait que son petit la défende et, de surcroît, le laisserait faire sans broncher ? Elle. Oui, elle. Mais duccio ne lui en avait jamais réellement voulu. Elle n'était pas faite pour être mère, ainsi était la vie et, même si l'amour était à sens unique entre eux deux, il ne pouvait, lui, pas rester les bras ballants quand il la voyait crouler sous les gifles de son géniteur. De toutes façons, il n'avait jamais rien attendu en retour. Il la défendait par amour, point. Donc, oui, l'italien n'avait pas eu la passade je trottine dans les champs en chantant les génériques de mes dessins animés préférés et je me comporte comme un moutard de 3 ans. Peut-être que noah faisait exprès de se comporter ainsi, pour avoir l'air mignon. Ou, peut-être qu'il n'avait simplement toujours pas grandi. Quoi qu'il en soit, ces réactions-là n'avaient pas toujours quelque chose d'adorable. Et duccio restait perplexe, le regardant faire. Avait-il déjà eu une copine ? Oui parce que la question sur la relation sérieuse ne se posait pas, mais alors pas du tout. Qui aurait aimé être en couple avec un petit garçon ? À moins d'être pédophile ou couguar, personne. Comment une fille pourrait-elle se sentir bien dans ses bras ? Il n'avait rien de rassurant, rien de très viril et encore moins de sages discours. Le mec le plus maigrelet, la crevette, était capable de telles prouesses, mais pas le belka. Lui, non, le physique et la mentalité étaient en parfaite harmonie ; et même si quelques nanas aimaient avoir des petits amis semblables à des bambins -ce qui laissait toujours le giena dans l'incompréhension la plus totale- elles étaient les premières à hurler lorsqu'une situation tournait au cauchemar et que le bambin n'était ni capable de les défendre, détalant littéralement, ni capable de les comprendre ou de les mettre à l'abri du besoin. Ah, duccio aurait pu faire une dissertation sur le sujet, oui monsieur. En attendant, le voilà qui détaillait son champignon du regard, taquinant son interlocuteur. Et (…) quel con. Avait-il vraiment gobé tout ce qu'il avait balancé ? Allons, ce n'était que des balivernes, des blagues. Mais il mâchouillait la trompette de la mort, fier de lui, attendant que cette dernière fasse effet. Il était davantage déprimant qu'il ne l'aurait cru. Nouveau point à critiquer : cette capacité presque étonnante à avaler toutes les histoires les plus bidons -et les champignons- et à se mettre en danger. Il ne s'était pas même posé la question, il avait mangé cette horreur rabougrie directement après la parole du giena. Naïf voire carrément con. Suicidaire aussi, tiens.

« en plus de pas être grosse, elle me fait chieeeeeer. » et le rital explosa littéralement de rire, dévoilant toutes ses dents, se courbant. Là, , il était drôle. C'est vrai qu'il n'avait pas de chance : petite bite rebelle, de quoi devenir fou. Avoir une érection devant un public était déjà un dur coup à encaisser, un bon gros morceau de fierté à ravaler, mais avoir une verge de petite taille en plus, c'était trop. Comment se sentir humilié en moins d'une minute. Calmant son rire, posant une main sur la pierre froide pour s'y appuyer, le brun conserva cependant un sourire, suivant le belka du regard. Ben tiens. Lui, faire la cueillette des cèpes en plus de celle des trompettes de la mort, et puis quoi encore ? Appuyant son index sur le front du plus jeune, il le fit reculer de quelques centimètres, assez pour s'en défaire et reprendre sa marche. « tu ferais mieux de ne pas t'agiter dans tous les sens, noah. De quand date ta dernière douche? » non, bien sûr, il n'avait pas loupé un tel détail. Enfin, détail pour certains ; en ce qui concernait notre rital, l'hygiène était chose très importante. Pire, chose vitale. Ne pouvait éviter que son nez soit assiégé par toutes les diverses odeurs de ce monde -la faute au garou- il esquivait généralement les gens à la senteur trop forte. Concernant le belka, cela passait encore mais il se sentait tout de même obligé de lui faire une remarque : histoire que cela ne se reproduise pas. Au revoir supplice des narines. Et puis, le plus jeune avait sûrement remarqué qu'il n'embaumait pas la rose, non ? Alors pourquoi soulever les bras en courant un peu plus tôt ? Il n'y avait pas meilleure façon de propager l'odeur. Cette odeur si désagréable qu'il évitait par tous les moyens : deux douches par jour, du déodorant et du parfum pour notre duccio. De base, c'est à peine si il transpirait. Sauf, bien entendu, en cas d'efforts poussés ou de chaleur torride. Mais voilà, c'était un réflexe, un principe : il voulait être agréable à sentir ; d'autant plus que les fines truffes étaient nombreuses dans cet établissement, garçons comme filles. Et puis, n'est-ce pas horriblement gênant que de se faire critiquer sur ça ? « tu pues » en voilà une jolie façon de complexer pendant cinq longues années consécutives. Et une jolie façon, aussi, de faire fuir toutes les possibles conquêtes. Le giena préférait cent fois être traité de salaud que de boule puante à pattes. « effectivement, ce champignon n'agit pas sur ta bite mais encore moins sur tes aisselles. C'est juste de la merde. Et si en plus tu me dis que c'est même pas bon, je ne comprends vraiment pas pourquoi on m'a fait venir jusqu'ici. » soupirant, sérieux, duccio laissa ses bras tomber le long de son corps, regardant les environs, avançant tranquillement. « et puis, d'où tu manges le fruit de mon dur labeur ? Je vais devoir galérer pour en trouver d'autres, t'es casse-couilles la noix. » petit surnom qu'il venait juste de lui trouver et qui, étrangement, lui décrochait un nouveau sourire. Dieu, s'ennuyait-il au point d'être amusé par une connerie et de sortir des trucs douteux ? Plissant les lèvres, se ressaisissant rapidement, le garou ferma les yeux, s'arrêtant. « rah, j'ai tellement pas envie de chercher ces foutus champignards. D'autant plus que tu devais m'aider et qu'au final tu m'as plus handicapé qu'autre chose. Et, tu sais. Peut-être qu'elle est petite et qu'elle n'en fait qu'à son gland mais. » l'italien marqua une pause, faisant mine de réfléchir. « mais ta gaule dure, en tout cas. Tu pensais à quoi de si excitant pour ne pas réussir à te calmer ? » ré-ouvrant les yeux, le giena se retourna, faisant face à son interlocuteur, passant sa langue sur ses lèvres. Tiens, c'est vrai que ça l'intéressait, ça : cela lui serait peut-être utile à lui aussi, plus tard, quand il n'arriverait plus à bander ; quand il sera un vieux croûton de 80 berges, par exemple, ou quand mina deviendra insupportable. Il y en aurait des occasions où il aurait besoin de cette astuce, c'était clair et net. Alors autant que noah la lui donne tout de suite.
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